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Tous mes remerciements à toi pour ton lexique anti-déprime… Que je suis en train de consommer avec la voracité que commande ton optimisme communicatif ! Le problème, c’est que tu es bien gentil mais que ça ne marchera jamais dans ce pays, Philippe !
Très précieux dans la période !
TOUT est dedans !
Symboles de renouveau, dynamisme, jeunesse, espérance, envie de s’en sortir, de tenir, etc. :
TOUT,
tout un programme,
et nous sommes TOUS obligés d’adhérer !!
Excellent ! Ca fait un bout de temps que mon épouse et moi trouvons cette expression « bon courage » complètement déplacée.
T’imagines combien de fois par jour je peux l’entendre dans la rue avec mon handicap…
Et mon épouse dans son labo d’analyse médicale : ses clients lui disent « bon courage » tandis qu’elle ne fait « que » son travail.
Bref, nous n’avons pas encore lu le livre mais le titre est déjà génial !
Je viens de visionner votre interview sur BFM Business où vous parlez de votre dernier ouvrage : »Ne me dites plus jamais bon courage. » Je suis en passe de terminer mon Master de Sciences Politiques et Relations Internationales, qui m’a amené à étudier aux USA et aux Philippines, où je me trouve actuellement depuis un peu plus de 9 mois.
Je tenais à vous dire à quel point vous aviez raison dans votre analyse. Elle redonne du courage à ceux qui, comme moi, peuvent parfois douter, malgré leur attachement à la France.
Encore bravo.
Quelle bonne idée, déjà ,ce titre. !
Ce bon courage que l’on m’adresse aussi tous les matins depuis des lustres dans l’ascenseur en arrivant au bureau m’a toujours été insupportable.
Je réponds invariablement : « pourquoi ? » , ce qui a pour effet de plonger mon interlocuteur dans des abîmes de perplexité …
C’est une démarche salvatrice !
Je partage ta vision des choses, je prends plaisir à transmettre aux gens chaque jour les biens faits d’être positif, de la portée des mots, de nos actes…
Une injection d’optimisme qui fera sûrement du bien.
Bon courage… euh pardon, « Bravo, et profites en bien !
Je viens de commencer la lecture de votre dernier essai et en arrivant au chapitre 4, je ne peux m’empêcher de vous écrire ce mot pour vous dire un grand merci !
A chaque fois, depuis Service Compris, je me sens moins seul en lisant vos lignes.
J’adore « le problème c’est que », je suis un combattant irréductible du quotidien contre cette expression que mon épouse et associée utilise au début de chacune de ses phrases. Vous m’avez donné la clef de ma fortune : au rythme du doublement du grain de riz sur les cases d’un échiquier je vais demander à ma femme de doubler la mise à chaque fois qu’elle utilise cette expression. Dépêchez vous de dégager dans votre agenda un temps pour un repas, je vous offre un bon resto dans très peu de temps.
Vous redonnez de l’espoir au gens. Ils en ont bien besoin.
Philippe Bloch, qui vit une bonne partie de son temps à New York tout en étant basé également à Paris, démonte brillamment douze expressions couramment employées chaque jour qui contribuent à miner notre moral collectif. A la suite de l’interview de Philippe qu’il a réalisé cette semaine (vidéo ci-dessous), Stéphane Soumier s’est engagé publiquement à faire la chasse à ces douze expressions, et tout particulièrement à l’expression « dans ce pays », qui se substitue trop souvent à l’expression « dans notre pays » ! Les expressions idiomatiques que nous employons révèlent un état d’esprit et sont symptomatiques de notre culture ambiante. La double culture française et anglo-saxonne de Philippe Bloch, lui a permis de repérer douze expressions qui nous minent le moral et renvoient à de vrais blocages de la société : de « Bon courage », entendu le matin à la sortie de l’ascenseur (voir vidéo ci-dessus), à « on a toujours fait comme ça » qui témoigne de la routine, en passant par « vivement la retraite! », « il est bien gentil » ou « à l’étranger » qui dénote une xénophobie latente. Je ne vous les dévoilerai pas toutes afin de vous inciter à acheter ce livre, qui pour la modique somme de dix euros, vous redonnera un moral d’enfer, et devrait selon moi être remboursé par la Sécurité Sociale !
1) c’est revigorant, et l’on se rend compte que l’on produit (parfois…) soi-même de la mauvaise énergie. Il faut « inverser » la polarité… !
2) c’est courageux de prendre la parole sur ces thèmes dans un moment où on a l’impression que tout se délite ici… !
Raison de plus….bravo !
Le livre qu’on voudrait prêter à tous ceux qu’on croise le matin…
C’est le petit livre orange qu’on a envie de déposer sur le bureau d’à côté. Ou près de la machine à café lyophilisé. On en laisserait même un dans l’ascenseur s’il y avait un strapontin pour lire tranquille… Son titre ? « Ne me dites plus jamais bon courage ».
Combien de fois vous a-t-on dit « bon courage », comme si vous partiez à la guerre au lieu d’aller travailler ? Et « ça ne marchera jamais ton truc » ? Vous ne comptez plus. Un jour, Philippe Bloch en a eu assez de ces phrases qui minent toutes les envies. Il en a tiré un lexique anti-déprime pour aider à s’en débarrasser… Et tout de suite après, enfin libre, plonger avec délices dans un nouveau projet. Euphorisant.
J’ai terminé hier « ne me souhaitez plus jamais bon courage » et je me suis bien marré.
Bon je dois avouer aussi que je me suis vu à de nombreuses reprises mais je trouve que tu as totalement raison.
Une autre façon de constater que les français n’y croient plus dans un autre registre c’est ce matin j’appelle le médecin car mon fiston à une bronchite et une otite…que j’ai chopée…le doc nous examine et nous dit « voila, je vous arrête combien de jours ??? » comme si c' »était naturel et automatique…j’ai halluciné, comme si la Sécu avait besoin de ça…
Je vous remercie infiniment d’avoir alerté l’opinion sur ces nouvelles expressions que je combats quotidiennement.
Nous étouffons dans le « petit »-petite signature, petit souci, petit café, etc.
Et je corrige le » bon courage » d’un « bon plaisir
Juste un petit mot pour vous remercier de votre envoie de votre livre, et vous féliciter pour votre prose, très agréable et avec un très bon rythme, et votre verve sur les émissions que j’ai pu visionner (BFM notamment).
Comme vous nous avez dit en réunion que vous étiez ouvert à la critique constructive, je vous livre la mienne – qui suit bien incapable d’écrire un ouvrage comme le votre, précisons-le d’entrée ! – Moi qui suis un franchouillard convaincu (bon…désolé, mais il en faut aussi ! ^^), avec toutes les limites que cela implique, j’en suis malheureusement parfaitement conscient… Il me semble que dans votre ouvrage, on sent beaucoup le pro-Américanisme latent (ou pas, d’ailleurs ! ^^).
C’est une critique « commerciale » ; au sens où il me semble que cela pourrait freiner, à moyen terme, la diffusion de l’ouvrage, qui, au départ, ne s’adresse pas qu’aux managers et entrepreneurs comme vous l’avez fait dans vos ouvrages précédents, mais au grand public, à une large diffusion.
Idée géniale, et analyse plus que pertinente !
Je viens de finir ton livre que j’ai avalé en quelques heures.
Je veux te remercier d’avoir si bien exprimé cet ambiance morose qui nous pourrit actuellement et nous tire vers le bas.
Moi qui suis une incorrigible optimiste, j’arrive ces derniers temps à me laisser aller à toutes ces pensées négatives. Ton livre me permet de croire que tout est encore possible et surtout que je ne suis pas la seule à penser comme ça.
Ton livre devrait être en vente dans toutes les pharmacies à la place de ces antidépresseurs que les médecins délivrent si facilement et que les gens prennent comme si c’était le remède miracle à tous leurs problèmes.
Merci pour ce bon moment que tu m’as fait passé.
Je crois que je vais en offrir quelques exemplaires pour Noël
Avant de lire ton livre, je pensais être quelqu’un de pessimiste (ou du moins pas toujours très optimiste) mais réalise en fait que je fais partie de ceux qui ont encore des rêves ! … tu as bien raison, le meilleur est à venir, la vie est bien trop courte pour ne pas en profiter, so I will « never quit » !!!
A lire d’urgence! C’est frais !
Un régal a lire!!!!
J’adore. Qu’il fait du bien ce livre… A lire absolument !!
Voici un livre à mettre entre toutes les mains et à diffuser au plus grand nombre afin de reprendre de vraies bonnes habitudes et de bannir la morosité qui nous entoure et gâche notre quotidien!!! J’ai eu le bonheur de rencontrer son auteur et de suivre une de ces conférences , Philippe Bloch, un homme débordant d’optimisme contagieux!
Et vous, vous êtes prêt à changer quelle(s) habitude(s) pour améliorer votre quotidien et celui des autres…???
Est-ce que vous êtes prêt à sortir de votre zone de confort???
Très bonne journée à tous !!!!
Souhaitons qu’il fasse un carton et que tu sois a l’origine d’un grand élan positif en France.
J’ai A-DO-RE. Quelle pertinence dans ton analyse, ce n’est pas une surprise, et quel pied de nez intelligent à tous les grincheux qui nous encombrent.
Aujourd’hui je partage totalement tout ce que tu constates et nous livres et c’est pourquoi j’ai savouré tes pages avec délectation et enthousiasme.
Je compte l’offrir à quelques amis et te recontacterai pour cela. Je t’embrasse et te crie (de joie) en terminant « Never give up » !
Je viens de dévorer votre livre Opération Boomerang… Rare pour moi de lire un tel pavé en 2 jours! Je le garde en tout cas et y reviendrai à coup sûr pour lire et relire encore vos précieux conseils.
Enfin quelqu’un d’optimiste! Ca fait du bien de vous lire, ça motive pour grandir.
Votre livre devrait être remboursé par la sécurité sociale ….en remplacement des antidépresseurs !
J’ai beaucoup aimé ce livre et j’ai très souvent souri en reconnaissant des situations tellement vraies que je me demandais si vous n’étiez pas venu dans mon entreprise sans que je le sache !!!! Bravo.
J’adore votre nouveau livre, félicitations. C’est un sujet que j’affectionne particulièrement : lutter contre la morosité, faire en sorte que les gens « se bougent ! » !
Enfin un livre qui fait du bien ! Court, facile à lire, il revient sur 12 expressions qui sont devenues courantes dans nos quotidiens et qui inconsciemment nous pourrissent le moral et, il faut bien le dire, nous « coupent les ailes ». Exemples ? « C’était mieux avant », « Bon courage », « Pourvu qu’il ne m’arrive rien »…
Bonjour !
je voulais vous laisser un mot parce que je viens de lire et relire votre livre « ne me dites plus jamais bon courage ».
le mot est : « MERCI « .
je suis prof d’histoire géo en lycée et je me bats pour MOTIVER depuis plus de 20 ans des petits français. vos idées m’en ont donné quelques autres que je vais développer dans mes relations avec mes mômes, dont certains ont les parents qui travaillent (aient) à Arcelor.Mettal… Belle ambiance!
Pourtant je reste une grande rêveuse qui croit dans le pouvoir de la volonté. Merci de me montrer que je ne suis pas toute seule! j’en ai eu les larmes aux yeux en lisant votre conclusion!
et j’ose ainsi vous écrire…
Merci et encore!
Christiane, une prof passionnée !
Bravo et merci pour votre message d’énergie et d’optimisme dans « ne me dites plus jamais bon courage » que je viens de lire en quelques heures, le sourire aux lèvres!
We just have one life, let’s keep it simple…
j’ai adoré excellent bouquin je recommande sa lecture,il permet à chacun de repositionner son vocabulaire de façon consciente
pour progresser intelligemment
Je viens d’acheter votre livre ce Samedi et je l’ai dévoré avec autant de plaisir que tous les autres. Une belle leçon d’optimisme et » de coups de pieds aux fesses » dans cet environnement morose actuel dans lequel on se laisse souvent allé au pessimisme….Un grand Merci Philippe mais cela n’empêche pas le chef d’entreprise que je suis a toujours combattre et dénoncer « avec optimisme » je précise la pression fiscale actuelle…..j’y mettrai dorénavant un peu plus de modération. Au plaisir de vous revoir.
Merci d’avoir publié votre livre qui répond à une vraie problématique de langages. Bien des choses peuvent changer si nous commençons par adapter notre vocabulaire. Je me bats d’ailleurs tous les jours contre mes tics de langage négatifs.
Je me permets de vous écrire après avoir lu avec jubilation votre ouvrage “Ne me dites plus jamais ‘Bon courage’” : j’ai retrouvé dans celui-ci la description d’expressions de proches, de collègues et par-dessus de mes propres expressions qui, j’en suis persuadé avec vous, sont le symbole et conditionnent notre manière d’agir et de penser ! J’ai donc entrepris de me ressaisir et de gommer tous ces tics de langage qui sont autant de mauvais signes envoyés à nos interlocuteurs.
J’ai trouvé particulièrement vraie la réflexion que vous menez sur le “Ce sera tout ?” des boulangères et, plus généralement, l’impatience des vendeurs à se débarrasser de leur interlocuteur au lieu de prendre le temps de le comprendre et de le séduire.
Tu as raison de fustiger la France qui rétrécit et la litanie des médiocres qui ne regardent que vers le bas et qui ne voient que les bouteilles à moitié vide.
Vous soulevez un sujet si important et profondément ancré dans notre pays. Mon associé et moi avons 26 ans, nous sortons de nos études et sommes en pleine création de notre entreprise. Les constats que vous déplorez se confirment au quotidien et sont d’autant plus criants de notre point de vue de jeunes entrepreneurs.
Alors merci de mettre sur la table ces constats sur « l’état d’esprit » français qui freine notre avancée. Vous entendre donne du baume au coeur et crédibilise notre démarche de voir grand et porter notre projet aux sommets.
Bonne journée et bon courage 😉 (on a du vous la faire 100 fois mais bon…)
Rarement j’ ai lu une personne qui a une vision aussi claire de la société et du fonctionnement humain dans des domaines aussi complexes tout en l’ expliquant de manière simple et compréhensible par tous.
Dommage que l’ on ne vous offre pas plus d’ occasions de les faire savoir, ne serait ce que par le biais des médias, surtout quand on voit tous les navets qui passent à longueur de temps partout.
J’ ai aussi beaucoup rigolé notemment le passage de la « boulangère et sa victime ».
Aussi « l’ étranger et le punching ball » entre autres…
Je garde votre livre précieusement et comme Stéphane Soumier s’ était engagé à reprendre les personnes qui diraient « ce pays »… je m’ engage à modifier ma vision des choses concernant ces craintes que vous avez trés bien cernées.
En ce qui concerne les abus de languages, je n’ y ai jamais eu recours.
Je sais que ce ne sera pas facile mais dans la vie il y a des « rencontres » qui peuvent changer un destin.
J’ avais remarqué à l’ époque où vous animiez sur BFM une emission régulière, votre amabilité envers votre collègue Arnaud et j’ ai retrouvé cette gentillesse dans votre livre.
Je me suis fixé un challenge dans l’ avenir ; trouver un client supplémentaire pour combler le manque à gagner lié à la baisse de trafic depuis septembre 2013.
Je n’ ai jamais osé le faire, persuadé bêtement que je n’ y arriverais pas d’ autant plus que tout le monde me dit » c’ est mort » « c ‘est foutu » « il fallait rester salarié »
Je vais suivre vos « conseils » et insister et non pas jeter l’ éponge au bout de la 1ère tentative.
J’ ai toujours aimé l’ école ( je tiens ça de mon père qui n’ a pas eu la chance d’ y aller et qui m’ a incité à bien travailler et apprendre car c’ est la clé d’ une vie réussie d’ après lui ) J’ en ai fait de même au travail toute ma vie mais de ce côté là, j’ ai été deçu car ça ne sert pas à grand chose.
Le fait d’ être consciencieux et ne pas être toujours à attendre l’ heure de fin du travail, vous attire la haine des collègues et souvent une forme de mise à l’ écart sans espèrer une bienveillance des supèrieurs.
C’ est à cause de ce climat pourri vécu plusieurs fois que j’ ai décidé de travailler pour moi même si ce n’ est pas facile mais le travail ne m’ a jamais fait peur.
Je vais offrir un livre (le même) à une amie qui démarre une activité et est démoralisée en ce moment.
Merci beaucoup et continuez à nous éclairer de votre sympathie et votre optimisme.
Je viens de finir votre livre ,je pense que je vais le faire tourner a bon nombre de mes connaissances.
De nature assez optimiste ,il m’ a ouvert les yeux à quel point la morosité s’était installée de manière insidieuse et pourtant rapidement dans notre façon de vivre notre UNIQUE existence .
Un bon moment passé a vous lire et découvrir votre générosité pour la vie .
Merci pour ce petit livre sympa criant de vérité qui permettra à certains d’avancer et de voir la vie autrement. En tous cas, plus personne n’ose me dire bon courage en signature de mail maintenant. ça rentre !
Bravo pour ce livre drôle, vrai et simple.
« Ne me dites plus jamais bon courage ! »……. merci ! Que du bon !
Enfin une lecture qui me conforte dans mes pensées. A en rire aussi tellement vous dites vrai. Un livre que j’ai acheté en plusieurs exemplaires pour de beaux cadeaux de Noël et une bonne réflexion pour ceux qui le liront….. provocation de ma part je le reconnais.
Pour certains de mon entourage, (non familial), qui se lamentent de la vie, qui pensent sans cesse qu’il y a pire qu’eux en explorant ma situation, mes choix de vie, et tout ce qui en découle……bien que je ne leur ai rien demandé d’ailleurs. Je leur dédie avec fierté les pages 88 et 89 du chapitre « Ça ne marchera jamais » qui sont la base de ma philosophie de vie. Cette liberté d’Etre, de penser … beau cadeau de la vie, d’une grande valeur. Ça au moins, personne ne me le prendra !
Merci à Vous, je me sens moins seule (sourire)….et mon appétit de la vie va continuer son chemin en toute sérénité accompagné des difficultés que le système m’impose parfois.
C’est tellement vrai, en particulier le « dans ce pays » qui me révolte depuis des années.
(…)
Continuez. J’adore !
Je viens de finir votre livre : il est remarquable de vérité et plein d’optimisme.
Un grand bravo pour cet ouvrage que tout le monde devrait lire.
Déçu ! Ne me dites plus jamais « que seuls les échecs font avancer » (cf. page 49) votre apologie des échecs m’a stoppé net ! cette affirmation est pour moi l’apanage des « petits » frenchies ! désolé ! Mais tout le reste est bon, rassurez-vous !
J’ai lu et relu ce livre pendant les fêtes… bravo à Philippe Bloch.
Je l’ai acheté car les « bon courage ! » m’ont toujours hérissé le poil… avoir un travail « normal », ce n’est ni le bagne ni la galère !
Magnifique le commentaire de l’expression « le problème, c’est que… ». Les losers voient les problèmes, les winners voient les solutions !
Mon fils (qui me connait bien ) m’a ce we encouragé a chargé votre livre sur le Kindle qu’il m’a offert pour noel ) « ne me dites plus jamais bon courage » OUF, lecture d’une traite (mais promis j’y reviens crayon en main !! ) un formidable coup de pied à la sinistrose qui commençait à m’envahir devant « quelques difficultés) a ces jeunes qui se plantent , ne veulent rien, veulent tout !!!! et moi au milieu un peu paumé pour trouver des solutions !!! et qui pense avoir aussi entendu et dit peut être ….le problème, c’est que…il est bien gentil, ça ne marchera jamais, ah !! l’étranger !!!
Merci , de cette lecture dans laquelle je peux plonger mon éternel optimiste et mon je suis sûr que l’on peut !!!
Rien à dire sauf que c’est tout simplement génial. Un vrai bol d’air et d’optimisme. Je vais tacher de ne plus oublier ces expressions françaises si négatives.
Bravo. Je l’ai offert à ma mère pour Noël ! Lecture en cours…
Bien reçu, lu en 2H, une TUERIE ! Je vais commander opération boomerang…
Un livre à lire et à relire.
Efficace ! Clair ! Vrai 😉 Félicitations…. Cdlts
Votre livre est excellent et criant de vérité !
Etant un parfait optimiste, chef d’entreprise, projeté en permanence vers l’avenir, j’ai apprécié et parcouru à la vitesse du TGV Paris-Drôme (2h20) votre ouvrage durant la trêve des confiseurs.
Seul bémol et gène que j’ai ressenti, c’est votre pro-Américanisme.
En effet, l’Amérique ne m’a jamais fait rêvé, le marketing et la réussite ou l’élévation sociale par l’argent que l’on a gagné ne sont pas mes valeurs.
Je préfère amplement m’appuyer sur des valeurs humanistes proche des autres avec sincérité et apporter une contribution sociale.
Les hauteurs de la Garde Adhémar doivent vous permettre d’avoir une vue d’ensemble de notre territoire, aussi je vous soumets l’idée que la morosité actuelle vient plus du « tout état » souhaité par nos politiques qui ont voulu remplacer l’emploi industriel par le fonctionnariat.
Aujourd’hui tout le monde sait que le pire employeur et manager en France c’est l’Etat. Les gens pour s’épanouir et se réaliser ont besoin d’identification et d’appartenance, seule la PME peut répondre à cela, mais encore faut-il une vraie volonté politique. Comme vous le citez dans votre livre, je me permets par humour : l’Amérique a Steeve Jobs, nous nous avons Pôle Emploi.
Pour bien démarrer l’année… avec un médicament non remboursé mais incroyablement efficace
Ce livre devrait être remboursé par la sécurité sociale tellement il fait du bien.
En voilà un livre qui semble donner la « banane » dans la sinistrose actuelle.
Après lecture, je peux confirmer que ce livre représente un bol d’air par rapport à la sinistrose actuelle. Philippe BLOCH souligne des évidences et illustre parfaitement comment notre langage trahit nos doutes, notre pessimisme latent, notre peur de l’avenir.
Certes, il ne donne pas de solutions mais il nous aide à prendre conscience individuellement de cette autoflagellation franco-française. En attendant que la prise de conscience soit collective
Bien reçu « ne me dites plus jamais bon courage ! « et déjà lu en 2 traites : une fois dans mon bain, l’eau refroidissait … brr .. impossible de quitter ce livre passionnant .. je l’ai terminé dans mon lit.
Que ce livre réveille les endormis !
Une agréable sensation me traverse le corps après avoir lu votre livre après ma GRANDE pose déjeuner!
Je tenais à vous remercier pour ce livre qui tombe à pic dans un moment de ma vie où, suite à l’obtention de ma Licence Sciences de l’Education,
Je suis en pleine réorientation ! J’ai l’impression d’être nulle et que tout ce que je vais entreprendre risque de tomber à l’eau ou de ne par marcher… Mais c’est vrai qu’on a tendance à se conditionner nous même, à penser tellement négatif que ce qu’on avait craint fini par se réaliser.
Ce livre est une bonne « thérapie », et en tout cas il m’aide à progresser vers des pensées positives et vers le chemin de l’optimisme ! En espérant trouver ma voie….
Cela fait plaisir de voir qu’il y a eu une prise de conscience à ce sujet, et qu’elle ait été relayée par les média.
C’est par un parcours d’expatriée et une joie de vivre naturelle que je suis arrivée aux mêmes conclusions que vous.
J’ai lu votre dernier livre, bravo !! Justes points de vues qui me conforte dans ma manière d’aborder la vie. Je vais vivement le conseiller.
je viens de finir votre livre hier, magnifique. Je suis en train d’en parler à mon travail pour que mes collègues aient une autre vision des choses…
J’ai été réellement séduit par l’approche utilisée pour aborder le climat de morosité ambiante en France, au travers notamment de l’appauvrissement des relations humaines comme conséquence du pessimisme qui nous habite presque naturellement et qui se manifeste par des expressions innocentes mais symptomatiques de notre état d’esprit général. J’ai moi même, et pour la première fois il me semble (je me suis d’ailleurs surpris rétrospectivement), souhaité « bon courage » à la boulangère (ce devait être à la suite d’un « ce sera tout? ») quelques jours avant d’entamer votre livre. J’aimerais vous dire à quel point vos remarques ont suscité un véritable écho, puisque je me surprends à présent à me rectifier lorsque j’ai le malheur de souhaiter bonne chance à quelqu’un.
Merci pour votre livre “Ne me dites plus jamais bon courage!”
Il m’a fait rire du début à la fin, je l’ai trouvé tellement vrai!
Il m’a fait encore plus échos car je suis une jeune entrepreneur, et autant vous dire que j’ai entendu des dizaines, voir de centaines…, de fois toutes ces expressions.
J’avais un poste à responsabilité dans une agence événementielle, des horaires de dingue mais un boulot que j’aimais et un salaire confortable, autant dire le rêve pour mes proches et mes collègues. Quand j’ai décidé de quitter ce poste pour créer mon entreprise, tout le monde m’a dit que j’étais folle, que je prenais des risques et que ça ne marcherait jamais!
Après un an d’activité, ça marche, je suis épanouie et je démarre bien l’année 2014.
Votre livre a été un rayon de soleil et me pousse à me dire que j’ai fait les bons choix, et que j’aime la France malgré tout!
Maintenant je vais aller le distribuer autour de moi…
J’ai lu avec une extrême attention votre dernier livre « NE ME DITES PLUS JAMAIS BON COURAGE « s’en est même devenu mon livre de chevet
Livre terminé et juste envie de vous féliciter pour cet ouvrage plein d’espoir, d’envie, et de bon sens… Ça fait du bien de parler d’optimisme !
Merci pour ces ondes positives qui me servent énormément en ce moment ou je me retrouve en fauteuil roulant…. Vos conseils m’aident à tout instant de la journée et tout le monde est étonné de me voir si souriante et pleine d’optimisme …
Je me permets de vous écrire pour vous dire MERCI !
Un ami m’a offert votre livre « ne me dites plus jamais bon courage » en me disant: » j ai beaucoup pensé à toi en lisant ce livre, je crois que tu vas te faire un nouveau copain »
Et en effet, quel bonheur de lire cela! Tous les jours, que ce soit dans ma vie professionnelle, en qualité de Responsable RH, ou dans ma sphère personnelle, je lutte contre cette morosité ambiante. Je m’efforce de répéter que l’utilisation d’un mot plutôt qu’un autre n’est jamais neutre. Tous ces termes négatifs ou expressions qui frôlent parfois le ridicule nous enferment dans un pessimisme, une spirale négative.
Oui, le bonheur est une aptitude! C’est même, à mon sens, un mode de vie. Savoir savourer le moment présent, faire des choix, décider, assumer, faire confiance, ne pas avoir peur de se tromper ( il n’y a qu’à ceux qui ne font rien qu’il n arrive rien), contribuer aux bonheurs des autres. Le bonheur est contagieux. Et voir les autres heureux contribuent fortement à notre propre bonheur.
En ce moment même, je bouquine en buvant un verre sur une terrasse ensoleillée et je me dis » quelle chance! » Est-ce la conscience que dans certains pays une chose aussi anodine ne serait pas possible pour moi, femme que je suis? Je ne sais pas mais je savoure!
Encore une fois, merci!
J’ai acheté votre lexique anti-déprime. Comme les précédents « Service Compris » et « Bienheureux les Fêlés » j’ai apprécié votre optimisme et votre enthousiasme. J’ai 75 ans et comme j’ai été « emballé » par ce que vous écrivez, je suis retourné à la librairie en acheté 2 pour deux de mes petits enfants. L’un est en école de Kiné à Montpellier, l’autre à l’école de commerce à Nantes.
Ils m’ont dit « Papy tu es génial de nous avoir fait découvrir ce petit bijou, nous mettrons à profit les conseils de Philppe Bloch, merci »
J’ai particulièrement apprécié votre ouvrage contre la morosité et pour l’entreprise. Travaillant sur l’environnement depuis une trentaine d’années, les pages 50 à 54 me sont allés droit au cœur. Je pourrais les illustrer de nombreux exemples dans les domaines que nous traitons. Les tracasseries à prétexte environnemental sont un excellent moyen de décourager les entrepreneurs, de leur imposer des dépenses inutiles, de les suspecter, de les contrôler, bref de casser toute dynamique. Les suicides des agriculteurs sont à méditer. Ce que vous dîtes à propos de la gentillesse et de la générosité me convient parfaitement. Je fais d’ailleurs partie des amis de Léon Tolstoï et de nombreuses phrase de votre livre en sont proches…
Bravo encore, et merci pour votre lucidité et votre témoignage.
Un livre profondément réaliste et frais pour éradiquer de notre vocabulaire les expressions quotidiennes qui sapent le moral et de notre vie les idées qui limitent nos énergies. Merci Philippe Bloch. A mettre dans les mains de tout entrepreneur… travailleur… citoyen…
Votre livre est un concentré de motivation et d’optimisme puissamment ancré dans la réalité , via la retranscription et la fine analyse des milieux sociologiques ou socioprofessionnels dans lesquels beaucoup d’entre nous évoluent au quotidien. Il offre énormément de pistes de réflexions et fédère par son originalité, autant que par son contenu.Merci pour cette lecture!
A l’occasion d’un repas on m’a offert un petit bouquin Orange « Ne me dites plus jamais bon courage »
Très mauvais lecteur, après l’avoir laissé trainer sur un coin de table et sur les conseils de mon épouse, qui entre temps a pris soin de le lire, je m’y mets enfin.
Et là, peut-on parler de révélation… enfin je ne voudrais pas en faire de trop, j’ai dévoré ton ouvrage…
Celui-ci m’a conforté dans ma conviction que par de simples gestes, nous pouvons tous être des acteurs…et faire bouger les lignes.
J’ai donc tout simplement décider d’offrir, comme MAO en son temps, ce petit livre Orange dont tu es l’auteur.
J’ai commencé par l’ensemble de mon personnel et poursuis ma distribution ou la recommandation auprès de mes relations. (Familles, Amis, Associés, Clients, Elus….)
Je tenais à te remercier pour cet ouvrage, encore bravo !
Ce livre est un régal. En ce qui me concerne, je suis devenu un adepte inconditionnel de votre positive-attitude. Votre passion est vraiment contagieuse.
Quelques mots pour vous féliciter pour vos ouvrages. (ne me dites plus bon courage, service compris).
Nous les partageons entre collègues dans notre entreprise alsacienne.
Ils nous font du bien, nous aident à y voir clair dans ce qui nous « limite »
J’ai réappris à travers vos livre que les mots ont du pouvoir.
Moi qui lis trop peu, j’ai dévoré votre bouquin. J’ai pris un immense plaisir à le lire, j’appréciais chaque page et étais presque triste de le finir si rapidement.
Si je peux me permettre, je trouve votre vision extrêmement intelligente et très riche (valoriser l’échec, voir les choses en grand etc..).
Moi même, je corrige au quotidien mon langage, change mon regard vers davantage de positivité, d’audace, d’amour, de respect d’autrui…
Bref, tout ça pour vous dire « Merci ». Votre livre, communique un incroyable enthousiasme, et fais du bien.
Merci pour votre générosité et authenticité.
Je viens de lire avec beaucoup de plaisir votre livre en objet.
Je n’ai qu’une chose à vous demander : présentez vous à la prochaine présidentielle Svp.
Avec votre voix médiatique vous pouvez passer outre les partis politiques totalement sclérosé.
Je compte sur vous. Tout comme une grande partie de la population française qui ne passe pas son temps à râler mais à agir chacun à son niveau.
Je vous remercie pour l’élan d’optimisme que vous m’avez donné au travers de votre livre » Ne me dites plus jamais bon courage ».
J’ai vraiment apprécié vos points de vue et vais veiller à parler « Optimiste ». Par ailleurs, je ne sais encore sous quelle forme, je vais agir pour mon pays que je trouve (comme tant d’autres pays) formidable.
Encore une fois merci.
« Rentrée du Québec il y a 6 mois pour monter ma société de conseil en stratégie et gestion de projets, la lecture de votre livre » Ne me dites plus jamais bon courage! » m’a enthousiasmé et devrait selon-moi être remboursé par la SECU ou du moins disponible dans toute bonne pharmacie qui se respecte. Je ne reconnais que très peu mon pays depuis mon retour. À l’audace d’entreprendre s’est substitué le statu quo. À l’émulation et le « Think and Act collective », s’est substitué la jalousie et l’envie vis à vis de la réussite ou simplement l’envie de réussir du voisin. Au vertus du travail et du dépassement de soi s’est substitué le culte de la médiocrité. Je dois avouer que je pense parfois, pour ne pas dire souvent à repartir. Je n’ai que 32 ans et ne peux et ne pourrai me résoudre à entendre que je n’aurai jamais du monter une société, mais rester salariée, faire profil bas et attendre que l’orage passe. Je veux tout et plus encore.
Tout comme vous, j’entends au quotidien toutes ces petites phrases ô combien exaspérantes et parfaitement inutiles. J’ai coutume de dire que depuis mon retour, je subis en permanence, une certaine forme de pollution auditive.
Je ne crois pas à l’homme ou la femme providentiel. Les politiques français ont « cent ans de retard » et sont dans la grande majorité du temps dans la réaction au lieu d’être dans l’anticipation. Je pense que les choses pourront peut être évaluer grâce notamment à tous ces gens dont je fais humblement partie qui ont vécu de nombreuses années à l’étranger et qui font le choix de revenir en France. Encore faut-il que l’on nous entende et que l’on reconnaisse notre plus-value au lieu de nous renvoyer sans cesse à la figure notre différence! La mobilité qu’elle soit physique comme intellectuelle est selon-moi, notre seule planche de salut.
J’aime quand vous dites qu’il faudrait remettre la gentillesse au goût du jour. Les français dont je suis, mais dont je me sens pourtant si éloignée de par la mentalité, sont bien aigres.
Malgré ce constat, je crois et veux croire en un avenir meilleur, un futur où l’innovation, la créativité et l’audace seraient valorisés, encouragés et salués. Je ne veux pas seulement être française par le passeport, je veux pouvoir affirmer la fierté qui est la mienne d’être française comme savent si bien le faire les américains ou les canadiens.
Merci d’avoir partagé votre expérience dans ce livre un tantinet « poil à gratter » dont nous avons bien besoin par les temps qui courent. »
A 60 ans passés depuis 6 mois, j’ai appris à mesurer, un peu, mes propos… Mais je l’affirme ici haut et fort : votre opuscule est GENIAL. Bravo et merci!
« Que c’est bon de vous lire ! Je viens de passer un dimanche formidable en votre compagnie ! L’impression que je viens de prendre une bouffée d’oxygène salvatrice, que je viens de recevoir une caution tangible à tout ce en quoi je crois, tout ce que j’explore et qui me nourrie depuis toujours : cette passion (ou prédisposition ?) pour l’OPTIMISME !! Que je n’exprimais pas avec autant de clarté, de simplicité et d’efficacité que vous le faites -magistralement !- dans ce concentré de bon sens qu’est votre livre « ne me dites plus jamais bon courage ». Bravo et sincèrement merci !
Vous venez de me réhabiliter dans mon droit à exprimer mon enthousiasme, qu’il est « de bon ton » de modérer quand on veut passer pour une « personne sérieuse » (…Lol), à poursuivre de croire en la force des bons sentiments, quitte à être qualifiée de « gentille », « de charmante », « de rigolote » (… Lol) par nombre de mes amis qui ont cédé au pessimisme et au défaitisme ambiant… Il est vrai que je manque parfois « d’arguments recevables » lors de nos débats autour d’un bon verre de vin ou d’une pétillante coupe de champagne… N’étant pas férue de politique et d’économie, n’étant pas une championne pour citer des références, des chiffres, des ratios précis (que j’oublie presqu’aussitôt les avoir lus ou consultés) qui éblouissent et confèrent un caractère savant à ce que je tente d’exprimer, mon optimisme s’assimile à de la « soap pour ado »… Je dois avouer que je revendique aussi cette image de la rigolote sympathique un peu à contre-courant… Cette image servant aussi ma fainéantise à partir réellement « en guerre » contre ce que j’appelle secrètement « l’obscurantisme mondain »… Bref ! Vous avez aussi réactivé mon devoir d’explorer des solutions plutôt que de me soumettre ou de me lamenter, vous avez réveillé mon penchant naturel pour l’innovation, l’inconnu, le goût d’oser sans se poser 10 000 questions (pour lesquelles il n’y a de toutes manières pas encore de réponses, juste des excuses pour « ne pas faire »…) Ouiiiii ! Vraiment mercis pour ce livre : il résume, il traduit, il éclaire, il ravive, il dit, il donne… Ahhhh !! Que c’est bon de respirer !… »
Je viens de terminer la lecture de votre livre « Ne me dites plus jamais bon courage ».
J’ai 32 ans, j’ai monté ma première boite il y a 9 ans. Boite que j’ai cédé il y a 10 mois à de très bonnes conditions, on peut dire que c’est une réussite.
J’ai recréé une nouvelle boite il y a 6 mois mais depuis j’avais cette sensation d’avoir moins d’enthousiasme, moins d’optimisme, d’être plus blasé, fataliste, que les conditions et le contexte ne sont plus les mêmes qu’en 2005 et que ça serait beaucoup plus dur aujourd’hui.
La lecture de votre livre m’a reboosté et remotivé.
En 2004 j’avais lu « Les 7 habitudes de ceux qui réalisent tout ce qu’ils entreprennent » de Stephen R.Covey et j’avais eu cette même sensation.
Merci.
« Merci pour votre lexique anti-déprime que je viens de terminer. Une telle prise de conscience ! Vous avez un don pour dire tout haut ce que certains bons français pensent tout bas. En bon français, continuez svp !!!
Cette morosité ambiante, ces gens qui râlent pour tout (même de la pluie !! ) qui broient que du noir alors que leur vie est comblée de « petits » rien …. Vous avez tellement raison.
Je ne suis pas d’origine Gauloise mais la France est un pays généreux, avec de bonnes valeurs, de bonnes personnes. Sans elle je ne serai pas là… donc j’y crois à fonds en cette France !!! Ils faut juste une prise de conscience, ou un choc culturel … A ma petite échelle j’y contribuerai en tout cas …
Je n’ai pas fait de grandes écoles, je sors d’une cité HLM mais j’ai de grands rêves .. Vous l’écrivez tellement bien pages 34…
Et on peut réaliser nos rêves quel que soit notre travail pourvu qu’on soit empathique (ça se dit ? :-)et généreux en effet… »
« J’ai acheté votre livre (Ne me dites plus jamais bon courage) il y a plus d’un an et je n’ai jamais pris le temps de le lire jusqu’à aujourd’hui. J’étais un éternel optimiste, voyant toujours le verre à moitié plein quand d’autres le voient à moitié vide. Mais petit à petit, les tracas du quotidien, la perte d’emploi, les problèmes de famille, vous rattrapent et vous inscrivent dans un cercle vicieux et on commence à voir le verre à moitié vide. Votre livre m’a fait du bien, m’a rappelé que je suis positif, qu’être heureux ça se décide, qu’il faut distingué « le provisoire du définitif », aujourd’hui je suis prêt à m’inscrire dans un cercle vertueux.
Je voulais donc simplement vous dire merci pour votre ouvrage, merci de rappelé au gens qu’il tient à nous de changer les chose, que nous sommes maître de notre réussite ou de notre échec, et que l’échec ne signifie pas la fin, mais un nouveau départ.
Je ne vous dis donc pas bon courage, mais plutôt bonne continuation à vous. »
« Je me permets de vous écrire , car votre livre est outils formidable pour une prise de conscience générale de ce qu’est le potentiel non seulement humain, mais aussi économique dont dispose le pays ….
En le parcourant , j’ai retrouvé les valeurs biblique , la foi du chrétien….qui espère même au delà de toute espérance.
En effet , on nous parle souvent de la morosité ambiante qui règne dans le pays et que les français sont les plus pessimistes du monde , mais ces sondages je ne crois pas qu’ils prennent en compte la vie des français croyants….qui vivent les principes que vous décrivez dans votre livre , au travers des écritures.
Un exemple sur la puissance de nos paroles…les enseignements de la bible en parlent largement.
Encore une fois , merci pour votre formidable livre qui met en évidence en effet les principes de vie.
Il fait voir grand , car les petites visions n’ont pas le pouvoir d’émouvoir l’âme humaine…! »
« Je confirme volontiers. Je n’ai pas encore lu « Tout va mal… » mais j’apprécie beaucoup « ne me dites plus jamais bon courage » que j’offre volontiers à mes amis englués (ou pas) dans le confort du pessimisme… »
« Ces deux ouvrages de Philippe BLOCH devraient être reconnus d’utilité publique. Deux véritables piqûres d’optimisme dans une période où le défaitisme est malheureusement la norme. »
« Je viens de terminer la lecture de votre dernier opus « Tout va mal… Je vais bien! « un must votre livre, allez zou ce week end je file acheter « Ne me dites plus jamais bon courage! »
Merci Philippe Bloch pour vos livres pleins de bon sens et d’enthousiasme. »
« J’ai terminé hier soir ma lecture de « Bon courage » celle-ci prend, à mes yeux, une toute autre dimension compte tenu du climat très douloureux dans lequel je l’ai faite. J’espère de tout coeur que vous et vos proches vous portez bien, comme les miens, et que nous trouverons tous et toutes la force de surmonter cette horrible épisode de notre histoire. Votre livre m’a parlé, Philippe et je vous remercie de l’avoir écrit car aujourd’hui, plus qu’hier sa lecture est pour moi des plus bénéfiques. »
« Bravo Cher Philippe. J’ai passé votre livre à tous les membres de ma famille. Il est désormais dans les mains de mon père. »
« J’ai dévoré « Ne me dites plus jamais bon courage ». J’ai hâte d’entamer votre dernier livre. En attendant, il faut que je me mette au travail. Mais vous m’avez « donné la patate » ! Un grand MERCI. »
« Je forme des jeunes et moins jeunes dans une école de commerce et que depuis j’ai pris pour habitude de leur lire à chaque fin de cours un chapitre de « ne me dites plus jamais bon courage » ils adorent et écoutent bouche bée. J’espère semer ainsi la graine du bonheur dans le bon nid. »
« Il n’est pas dans mes habitudes de faire de la pub ou de la promo pour quelqu’un ou un produit sur ce groupe, mais là je fais une exception pour le livre d’un entrepreneur positif, Philippe Bloch, qui vient de sortir en édition de poche, et vu son prix il n’y a aucune raison valable de laisser passer cette occasion : pour le prix d’une bière 33 cl au comptoir, vous achetez un condensé d’optimisme et de positivité, le tout écrit avec humour, mais c’est aussi par l’humour et l’ironie que l’on fait passer un certain nombre de messages. »Ne me dites plus jamais bon courage » résume assez bien la philosophie positive de notre groupe alors ne vous en privez pas.Et pendant que vous y êtes, rien ne vous empêche de jeter un oeil sur son tout nouveau livre plein de positivité « Tout va mal …je vais bien »
In optimism we trust !!!”
C’est un livre qui se lit d’une traite, remplit d’optimisme, humanisme et d’énergie transformant les obstacles en véritable tremplin vers le succès !
Il devrait être obligatoire dans les établissements scolaires tout autant que certains autres ouvrages connus! »
Cécilia PENARD, le 27/08/16