avis lecteurs

« C’est un livre qui se lit d’une traite, remplit d’optimisme, humanisme et d’énergie transformant les obstacles en véritable tremplin vers le succès !
Il devrait être obligatoire dans les établissements scolaires tout autant que certains autres ouvrages connus! »
Cécilia PENARD, le 27/08/16»
« Je me suis acheté le « petit livre orange qui donne la pêche ». Il y avait des années que je n’avais pas lu un bouquin. Le vôtre, je l’ai lu en 1 semaine. Du coup, dernièrement, j’ai lu votre dernier livre « Tout va mal… je vais bien! ». Même mon ami, qui ne lit jamais, l’a parcouru avant moi!!! Rien que pour ça, je voulais tout simplement vous dire: Bravo! Bravo pour votre écriture. Je suis admirative de votre si beau parcours et, surtout, de votre « positive attitude » qui devrait être en chacun de nous! A ce jour, toutes les personnes de mon équipe liront au moins « ne me dites plus jamais bon courage » (j’entends trop souvent le mot « petit »!).
Les retours sont: ce livre est top! »
Delphine, le 22/02/16
« Ce matin, j’avais des idées plutôt morbides en me levant je dois bien l’avouer.
J’ai lu votre livre entre plusieurs gorgées de café.
C’est un GRAND livre contrairement à ce que Christine KERDELLANT écrit sur la quatrième de couverture  » un petit livre désopilant »..
Je vais tout lire de vous
Vous m’avez, en 148 pages, donné l’envie de voir la vie autrement.
Vos mots sont simples et percutants.
Votre vision est tellement réaliste.
Un GRAND merci, et bonne journée… »
Virginie LECANU, le 11/01/16
« Il n’est pas dans mes habitudes de faire de la pub ou de la promo pour quelqu’un ou un produit sur ce groupe, mais là je fais une exception pour le livre d’un entrepreneur positif, Philippe Bloch, qui vient de sortir en édition de poche, et vu son prix il n’y a aucune raison valable de laisser passer cette occasion : pour le prix d’une bière 33 cl au comptoir, vous achetez un condensé d’optimisme et de positivité, le tout écrit avec humour, mais c’est aussi par l’humour et l’ironie que l’on fait passer un certain nombre de messages. »Ne me dites plus jamais bon courage » résume assez bien la philosophie positive de notre groupe alors ne vous en privez pas.Et pendant que vous y êtes, rien ne vous empêche de jeter un oeil sur son tout nouveau livre plein de positivité « Tout va mal …je vais bien »
In optimism we trust !!!”
Xavier Gilleron, le 30/12/15
« Je forme des jeunes et moins jeunes dans une école de commerce et que depuis j’ai pris pour habitude de leur lire à chaque fin de cours un chapitre de « ne me dites plus jamais bon courage  » ils adorent et écoutent bouche bée. J’espère semer ainsi la graine du bonheur dans le bon nid. »
Patricia SEIBERT, le 22/12/15
« Comme pour « Ne me dites plus jamais bon courage », j’ai pris un grand plaisir à lire votre ouvrage.
J’ai particulièrement apprécié les illustrations que vous avez incluses dans cet opus. Elles apportent une touche de légèreté et permettent aux citations de se détacher clairement. »
Julien Vaillant, le 24/11/15
« J’ai dévoré « Ne me dites plus jamais bon courage ». J’ai hâte d’entamer votre dernier livre. En attendant, il faut que je me mette au travail. Mais vous m’avez « donné la patate » ! Un grand MERCI. »
Isabelle LASO-FERRARI,le 21/11/15
« Bravo Cher Philippe. J’ai passé votre livre à tous les membres de ma famille. Il est désormais dans les mains de mon père. »
Colombe Paland, le 21/11/15
« J’ai terminé hier soir ma lecture de « Bon courage » celle-ci prend, à mes yeux, une toute autre dimension compte tenu du climat très douloureux dans lequel je l’ai faite. J’espère de tout coeur que vous et vos proches vous portez bien, comme les miens, et que nous trouverons tous et toutes la force de surmonter cette horrible épisode de notre histoire. Votre livre m’a parlé, Philippe et je vous remercie de l’avoir écrit car aujourd’hui, plus qu’hier sa lecture est pour moi des plus bénéfiques. »
Corinne, le 19/11/15
« Je viens de terminer la lecture de votre dernier opus « Tout va mal… Je vais bien! « un must votre livre, allez zou ce week end je file acheter « Ne me dites plus jamais bon courage!  »
Merci Philippe Bloch pour vos livres pleins de bon sens et d’enthousiasme. »
Corinne, le 12/11/15
« Ces deux ouvrages de Philippe BLOCH devraient être reconnus d’utilité publique. Deux véritables piqûres d’optimisme dans une période où le défaitisme est malheureusement la norme. »
Julien Vaillant, le 28/10/15
« Je confirme volontiers. Je n’ai pas encore lu « Tout va mal… » mais j’apprécie beaucoup « ne me dites plus jamais bon courage » que j’offre volontiers à mes amis englués (ou pas) dans le confort du pessimisme… »
David Azria, le 27/10/15
« Je me permets de vous écrire , car votre livre est outils formidable pour une prise de conscience générale de ce qu’est le potentiel non seulement humain, mais aussi économique dont dispose le pays ….
En le parcourant , j’ai retrouvé les valeurs biblique , la foi du chrétien….qui espère même au delà de toute espérance.
En effet , on nous parle souvent de la morosité ambiante qui règne dans le pays et que les français sont les plus pessimistes du monde , mais ces sondages je ne crois pas qu’ils prennent en compte la vie des français croyants….qui vivent les principes que vous décrivez dans votre livre , au travers des écritures.
Un exemple sur la puissance de nos paroles…les enseignements de la bible en parlent largement.
Encore une fois , merci pour votre formidable livre qui met en évidence en effet les principes de vie.
Il fait voir grand , car les petites visions n’ont pas le pouvoir d’émouvoir l’âme humaine…! »
Brice Roland Massamba, le 26/05/15
« J’ai acheté votre livre (Ne me dites plus jamais bon courage) il y a plus d’un an et je n’ai jamais pris le temps de le lire jusqu’à aujourd’hui. J’étais un éternel optimiste, voyant toujours le verre à moitié plein quand d’autres le voient à moitié vide. Mais petit à petit, les tracas du quotidien, la perte d’emploi, les problèmes de famille, vous rattrapent et vous inscrivent dans un cercle vicieux et on commence à voir le verre à moitié vide. Votre livre m’a fait du bien, m’a rappelé que je suis positif, qu’être heureux ça se décide, qu’il faut distingué « le provisoire du définitif », aujourd’hui je suis prêt à m’inscrire dans un cercle vertueux.
Je voulais donc simplement vous dire merci pour votre ouvrage, merci de rappelé au gens qu’il tient à nous de changer les chose, que nous sommes maître de notre réussite ou de notre échec, et que l’échec ne signifie pas la fin, mais un nouveau départ.
Je ne vous dis donc pas bon courage, mais plutôt bonne continuation à vous. »
Mustapha, le 6/05/15
« Merci pour votre lexique anti-déprime que je viens de terminer. Une telle prise de conscience ! Vous avez un don pour dire tout haut ce que certains bons français pensent tout bas. En bon français, continuez svp !!!
Cette morosité ambiante, ces gens qui râlent pour tout (même de la pluie !! ) qui broient que du noir alors que leur vie est comblée de « petits » rien …. Vous avez tellement raison.
Je ne suis pas d’origine Gauloise mais la France est un pays généreux, avec de bonnes valeurs, de bonnes personnes. Sans elle je ne serai pas là… donc j’y crois à fonds en cette France !!! Ils faut juste une prise de conscience, ou un choc culturel … A ma petite échelle j’y contribuerai en tout cas …
Je n’ai pas fait de grandes écoles, je sors d’une cité HLM mais j’ai de grands rêves .. Vous l’écrivez tellement bien pages 34…
Et on peut réaliser nos rêves quel que soit notre travail pourvu qu’on soit empathique (ça se dit ? :-)et généreux en effet… »Claire, le 13/12/14
Je viens de terminer la lecture de votre livre « Ne me dites plus jamais bon courage ».
J’ai 32 ans, j’ai monté ma première boite il y a 9 ans. Boite que j’ai cédé il y a 10 mois à de très bonnes conditions, on peut dire que c’est une réussite.
J’ai recréé une nouvelle boite il y a 6 mois mais depuis j’avais cette sensation d’avoir moins d’enthousiasme, moins d’optimisme, d’être plus blasé, fataliste, que les conditions et le contexte ne sont plus les mêmes qu’en 2005 et que ça serait beaucoup plus dur aujourd’hui.
La lecture de votre livre m’a reboosté et remotivé.
En 2004 j’avais lu « Les 7 habitudes de ceux qui réalisent tout ce qu’ils entreprennent » de Stephen R.Covey et j’avais eu cette même sensation.
Merci.Mickaël BRISSON, le 7/12/14
« Que c’est bon de vous lire ! Je viens de passer un dimanche formidable en votre compagnie ! L’impression que je viens de prendre une bouffée d’oxygène salvatrice, que je viens de recevoir une caution tangible à tout ce en quoi je crois, tout ce que j’explore et qui me nourrie depuis toujours : cette passion (ou prédisposition ?) pour l’OPTIMISME !! Que je n’exprimais pas avec autant de clarté, de simplicité et d’efficacité que vous le faites -magistralement !- dans ce concentré de bon sens qu’est votre livre « ne me dites plus jamais bon courage ». Bravo et sincèrement merci !
Vous venez de me réhabiliter dans mon droit à exprimer mon enthousiasme, qu’il est « de bon ton » de modérer quand on veut passer pour une « personne sérieuse » (…Lol), à poursuivre de croire en la force des bons sentiments, quitte à être qualifiée de « gentille », « de charmante », « de rigolote » (… Lol) par nombre de mes amis qui ont cédé au pessimisme et au défaitisme ambiant… Il est vrai que je manque parfois « d’arguments recevables » lors de nos débats autour d’un bon verre de vin ou d’une pétillante coupe de champagne… N’étant pas férue de politique et d’économie, n’étant pas une championne pour citer des références, des chiffres, des ratios précis (que j’oublie presqu’aussitôt les avoir lus ou consultés) qui éblouissent et confèrent un caractère savant à ce que je tente d’exprimer, mon optimisme s’assimile à de la « soap pour ado »… Je dois avouer que je revendique aussi cette image de la rigolote sympathique un peu à contre-courant… Cette image servant aussi ma fainéantise à partir réellement « en guerre » contre ce que j’appelle secrètement « l’obscurantisme mondain »… Bref ! Vous avez aussi réactivé mon devoir d’explorer des solutions plutôt que de me soumettre ou de me lamenter, vous avez réveillé mon penchant naturel pour l’innovation, l’inconnu, le goût d’oser sans se poser 10 000 questions (pour lesquelles il n’y a de toutes manières pas encore de réponses, juste des excuses pour « ne pas faire »…) Ouiiiii ! Vraiment mercis pour ce livre : il résume, il traduit, il éclaire, il ravive, il dit, il donne… Ahhhh !! Que c’est bon de respirer !… »Isabelle, le 23/11/14

A 60 ans passés depuis 6 mois, j’ai appris à mesurer, un peu, mes propos… Mais je l’affirme ici haut et fort : votre opuscule est GENIAL. Bravo et merci!

Etienne Badolle, le 4/11/14

« Rentrée du Québec il y a 6 mois pour monter ma société de conseil en stratégie et gestion de projets, la lecture de votre livre  » Ne me dites plus jamais bon courage! » m’a enthousiasmé et devrait selon-moi être remboursé par la SECU ou du moins disponible dans toute bonne pharmacie qui se respecte. Je ne reconnais que très peu mon pays depuis mon retour. À l’audace d’entreprendre s’est substitué le statu quo. À l’émulation et le « Think and Act collective », s’est substitué la jalousie et l’envie vis à vis de la réussite ou simplement l’envie de réussir du voisin. Au vertus du travail et du dépassement de soi s’est substitué le culte de la médiocrité. Je dois avouer que je pense parfois, pour ne pas dire souvent à repartir. Je n’ai que 32 ans et ne peux et ne pourrai me résoudre à entendre que je n’aurai jamais du monter une société, mais rester salariée, faire profil bas et attendre que l’orage passe. Je veux tout et plus encore.Tout comme vous, j’entends au quotidien toutes ces petites phrases ô combien exaspérantes et parfaitement inutiles. J’ai coutume de dire que depuis mon retour, je subis en permanence, une certaine forme de pollution auditive.

Je ne crois pas à l’homme ou la femme providentiel. Les politiques français ont « cent ans de retard » et sont dans la grande majorité du temps dans la réaction au lieu d’être dans l’anticipation. Je pense que les choses pourront peut être évaluer grâce notamment à tous ces gens dont je fais humblement partie qui ont vécu de nombreuses années à l’étranger et qui font le choix de revenir en France. Encore faut-il que l’on nous entende et que l’on reconnaisse notre plus-value au lieu de nous renvoyer sans cesse à la figure notre différence! La mobilité qu’elle soit physique comme intellectuelle est selon-moi, notre seule planche de salut.

J’aime quand vous dites qu’il faudrait remettre la gentillesse au goût du jour. Les français dont je suis, mais dont je me sens pourtant si éloignée de par la mentalité, sont bien aigres.

Malgré ce constat, je crois et veux croire en un avenir meilleur, un futur où l’innovation, la créativité et l’audace seraient valorisés, encouragés et salués. Je ne veux pas seulement être française par le passeport, je veux pouvoir affirmer la fierté qui est la mienne d’être française comme savent si bien le faire les américains ou les canadiens.

Merci d’avoir partagé votre expérience dans ce livre un tantinet « poil à gratter » dont nous avons bien besoin par les temps qui courent. »

Colombe PALAND, le 9/10/14

« Je vous remercie pour l’élan d’optimisme que vous m’avez donné au travers de votre livre  » Ne me dites plus jamais bon courage ».
J’ai vraiment apprécié vos points de vue et vais veiller à parler « Optimiste ». Par ailleurs, je ne sais encore sous quelle forme, je vais agir pour mon pays que je trouve (comme tant d’autres pays) formidable.
Encore une fois merci. »Herbert, le 29/09/14
« Je viens de terminer la lecture de votre livre « ne me dites plus jamais bon courage », je l’ai dévoré et adoré.
Vous avez écrit exactement ce que j’ai envie de dire à longueur de temps aux gens qui m’entourent ou ceux que je rencontre dans mon métier. »Sylvie Fadigas, le 27/08/14
« Je viens de terminer votre livre :-)
Pendant un moment, je croyais que vous cherchiez à enfoncer pour de bon le clou du français déjà bien installé sur la croix du petit Jésus (=se sacrifier pour son travail et sa famille, en devenir malheureux et aigri parce qu’on ne fait rien pour ça et pourrir tout notre entourage de « j’en ai marre » sans jamais rien faire pour être plus heureux).
Ce n’est que vers la fin que j’ai profondément pris conscience du message que vous souhaitiez faire passer « bougez-vous les fesses si vous voulez que ça change au lieu de vous morfondre! »… et de mon propre négativisme surtout! J’ai écouté mon entourage, mes collègues… En fait tous se complaisent là-dedans, c’est pathétique. Quand il y a un éclair de lucidité: « on n’est pas si mal loti dans cette entreprise, quand on a bossé ailleurs on sait que ça pourrait être pire », ça ne dure jamais longtemps avant que le pessimisme reprenne le dessus. Après, la difficulté quand on a conscience de ça c’est de rester humble et de ne pas juger, mais plutôt essayer de les mener subtilement vers un autre état d’esprit. Après est-ce que je veux être cette meneuse? Faut voir…
En tous cas votre bouquin, couplé à celui de Chine Lanzmann « guide de l’auto-coaching pour les femmes » sont de merveilleux outils de prise de conscience qu’on peut considérablement améliorer sa vie.
Merci! »
Caroline Lindenlaub, le 02/08/14
« MERCI ! merci de votre ouvrage… depuis de nombreuses années le “bon courage” m’exaspère et je disais à mon entourage mais c’est exaspérant que l’on vous souhaite “Bon courage” alors que le courage réside tellement ailleurs que commencer une journée …. On a déjà la chance de pouvoir la commencer….
Vous avez ma pensée en cet ouvrage alors Merci. Cela changera peut être certaines choses.»
Yakinikou, le 28/07/14
« Merci mille fois pour ce bouquin : « Ne me dites plus jamais bon courage !.
Avec des talents d’écriture que je n’ai pas, bien sur, j’aurais pu écrire certains chapitres; tant il me renvoient à des aspects réels de mon chemin de vie. »
Marie lou de Rango, le 21/07/14
« Je viens de lire avec beaucoup de plaisir votre livre en objet.
Je n’ai qu’une chose à vous demander : présentez vous à la prochaine présidentielle Svp.
Avec votre voix médiatique vous pouvez passer outre les partis politiques totalement sclérosé.
Je compte sur vous. Tout comme une grande partie de la population française qui ne passe pas son temps à râler mais à agir chacun à son niveau. »
Julien Heidmann, le 14/07/14
« Moi qui lis trop peu, j’ai dévoré votre bouquin. J’ai pris un immense plaisir à le lire, j’appréciais chaque page et étais presque triste de le finir si rapidement. Si je peux me permettre, je trouve votre vision extrêmement intelligente et très riche (valoriser l’échec, voir les choses en grand etc..). Moi même, je corrige au quotidien mon langage, change mon regard vers davantage de positivité, d’audace, d’amour, de respect d’autrui… Bref, tout ça pour vous dire « Merci ». Votre livre, communique un incroyable enthousiasme, et fais du bien.
Merci pour votre générosité et authenticité. »
Fanny , le 09/06/14
« Quelques mots pour vous féliciter pour vos ouvrages. (ne me dites plus bon courage, service compris)
Nous les partageons entre collègues dans notre entreprise alsacienne.
Ils nous font du bien, nous aident à y voir clair dans ce qui nous « limite »
J’ai réappris à travers vos livre que les mots ont du pouvoir. »
Aldric Schloegel, le 26/04/14
« A l’occasion d’un repas on m’a offert un petit bouquin Orange « Ne me dites plus jamais bon courage »
Très mauvais lecteur, après l’avoir laissé trainer sur un coin de table et sur les conseils de mon épouse, qui entre temps a pris soin de le lire, je m’y mets enfin. Et là, peut-on parler de révélation… enfin je ne voudrais pas en faire de trop, j’ai dévoré ton ouvrage… Celui-ci m’a conforté dans ma conviction que par de simples gestes, nous pouvons tous être des acteurs…et faire bouger les lignes. J’ai donc tout simplement décider d’offrir, comme MAO en son temps, ce petit livre Orange dont tu es l’auteur. J’ai commencé par l’ensemble de mon personnel et poursuis ma distribution ou la recommandation auprès de mes relations (Familles, Amis, Associés, Clients, Elus…).
Je tenais à te remercier pour cet ouvrage, encore bravo ! »
Jean-Luc Seyvet, le 26/04/14
« Merci pour votre dernier livre « Ne me dîtes plus jamais bon courage », c’est un vrai concentré d’énergie positive à consommer sans modération ! »
Valérie Berner, le 02/04/14
« Votre livre est un concentré de motivation et d’optimisme puissamment ancré dans la réalité, via la retranscription et la fine analyse des milieux sociologiques ou socioprofessionnels dans lesquels beaucoup d’entre nous évoluent au quotidien. Il offre énormément de pistes de réflexions et fédère par son originalité, autant que par son contenu. Merci pour cette lecture ! »
Cécile, le 02/04/14
« Un livre profondément réaliste et frais pour éradiquer de notre vocabulaire les expressions quotidiennes qui sapent le moral et de notre vie les idées qui limitent nos énergies. Merci Philippe Bloch. A mettre dans les mains de tout entrepreneur… travailleur… citoyen… »
Nicolas Haslé, le 30/03/14
« J’ai particulièrement apprécié votre ouvrage contre la morosité et pour l’entreprise. Travaillant sur l’environnement depuis une trentaine d’années, les pages 50 à 54 me sont allés droit au cœur. Je pourrais les illustrer de nombreux exemples dans les domaines que nous traitons. Les tracasseries à prétexte environnemental sont un excellent moyen de décourager les entrepreneurs, de leur imposer des dépenses inutiles, de les suspecter, de les contrôler, bref de casser toute dynamique. Les suicides des agriculteurs sont à méditer. Ce que vous dîtes à propos de la gentillesse et de la générosité me convient parfaitement. Je fais d’ailleurs partie des amis de Léon Tolstoï et de nombreuses phrases de votre livre en sont proches…
Bravo encore, et merci pour votre lucidité et votre témoignage. »
Christian Buson, le 23/03/14
« J’ai acheté votre lexique anti-déprime. Comme les précédents « Service Compris » et « Bienheureux les Fêlés » j’ai apprécié votre optimisme et votre enthousiasme. J’ai 75 ans et comme j’ai été « emballé » par ce que vous écrivez, je suis retourné à la librairie en acheté 2 pour deux de mes petits enfants. L’un est en école de Kiné à Montpellier, l’autre à l’école de commerce à Nantes.
Ils m’ont dit « Papy tu es génial de nous avoir fait découvrir ce petit bijou, nous mettrons à profit les conseils de Philppe Bloch, merci » »
Jean-Claude Colas, le 18/03/14
« Votre livre, « Ne me dites plus jamais bon courage ! » est une véritable bouffée
d’oxygène pour combattre cette morosité ambiante et notre inertie génétique. »
Philippe Carbonnie, le 16/03/14
« Je me permets de vous écrire pour vous dire MERCI !
Un ami m’a offert votre livre « ne me dites plus jamais bon courage » en me disant:  » j ai beaucoup pensé à toi en lisant ce livre, je crois que tu vas te faire un nouveau copain ». Et en effet, quel bonheur de lire cela! Tous les jours, que ce soit dans ma vie professionnelle, en qualité de Responsable RH, ou dans ma sphère personnelle, je lutte contre cette morosité ambiante. Je m’efforce de répéter que l’utilisation d’un mot plutôt qu’un autre n’est jamais neutre. Tous ces termes négatifs ou expressions qui frôlent parfois le ridicule nous enferment dans un pessimisme, une spirale négative.
Oui, le bonheur est une aptitude! C’est même, à mon sens, un mode de vie. Savoir savourer le moment présent, faire des choix, décider, assumer, faire confiance, ne pas avoir peur de se tromper ( il n’y a qu’à ceux qui ne font rien qu’il n arrive rien), contribuer aux bonheurs des autres. Le bonheur est contagieux. Et voir les autres heureux contribuent fortement à notre propre bonheur. En ce moment même, je bouquine en buvant un verre sur une terrasse ensoleillée et je me dis  » quelle chance!  » Est-ce la conscience que dans certains pays une chose aussi anodine ne serait pas possible pour moi, femme que je suis? Je ne sais pas mais je savoure!
Encore une fois, merci ! »
Feirouz Guettiche, le 15/03/14
« Merci pour ces ondes positives qui me servent énormément en ce moment ou je me retrouve en fauteuil roulant…. Vos conseils m’aident à tout instant de la journée et tout le monde est étonné de me voir si souriante et pleine d’optimisme …»
Danielle Simongiovanni, le 03/03/14
« Livre terminé et juste envie de vous féliciter pour cet ouvrage plein d’espoir, d’envie, et de bon sens… Ça fait du bien de parler d’optimisme ! »
Julien Deprey, le 02/03/14
« Quel bonheur de lire votre livre ! Je partage toutes vos idées, et vos valeurs et je suis tout à fait d’accord que les choses doivent changer en France. Alors aujourd’hui, j’ai très envie de suivre vos conseils et de rejoindre le camp des optimistes. Il est grand temps de refaire des projets et de ne plus avoir peur d’avancer. Merci d’avoir partagé, à travers ce livre , votre enthousiasme, votre optimisme et votre courage. »
Sandrine Birklé, le 28/02/14
« J’ai lu avec une extrême attention votre dernier livre « NE ME DITES PLUS JAMAIS BON COURAGE » s’en est même devenu mon livre de chevet. »
Hervé Michel, le 24/02/14
« Merci pour votre livre “Ne me dites plus jamais bon courage!”
Il m’a fait rire du début à la fin, je l’ai trouvé tellement vrai!
Il m’a fait encore plus échos car je suis une jeune entrepreneur, et autant vous dire que j’ai entendu des dizaines, voir de centaines…, de fois toutes ces expressions.
J’avais un poste à responsabilité dans une agence événementielle, des horaires de dingue mais un boulot que j’aimais et un salaire confortable, autant dire le rêve pour mes proches et mes collègues. Quand j’ai décidé de quitter ce poste pour créer mon entreprise, tout le monde m’a dit que j’étais folle, que je prenais des risques et que ça ne marcherait jamais!
Après un an d’activité, ça marche, je suis épanouie et je démarre bien l’année 2014.
Votre livre a été un rayon de soleil et me pousse à me dire que j’ai fait les bons choix, et que j’aime la France malgré tout!
Maintenant je vais aller le distribuer autour de moi… »
Laurence LAMARCQ, le 24/02/14
« J’ai été réellement séduit par l’approche utilisée pour aborder le climat de morosité ambiante en France, au travers notamment de l’appauvrissement des relations humaines comme conséquence du pessimisme qui nous habite presque naturellement et qui se manifeste par des expressions innocentes mais symptomatiques de notre état d’esprit général. J’ai moi même, et pour la première fois il me semble (je me suis d’ailleurs surpris rétrospectivement), souhaité « bon courage » à la boulangère (ce devait être à la suite d’un « ce sera tout? ») quelques jours avant d’entamer votre livre. J’aimerais vous dire à quel point vos remarques ont suscité un véritable écho, puisque je me surprends à présent à me rectifier lorsque j’ai le malheur de souhaiter bonne chance à quelqu’un. »
Ilan Edéry, le 20/02/14
« Pour combattre cela, voici un livre que je conseille à tous et qui fonctionne parfaitement aussi en Belgique »
Laurent Ghijselings, le 20/02/14
« je viens de finir votre livre hier, magnifique. Je suis en train d’en parler à mon travail pour que mes collègues aient une autre vision des choses… »
Marie-Pierre Jarlegan, le 20/02/14
« J’ai lu votre dernier livre, bravo !! Justes points de vues qui me conforte dans ma manière d’aborder la vie. Je vais vivement le conseiller. »
Nicolas Leroy, le 19/02/14
« Ceux qui l’on lu comme moi sont tellement rechargés en ondes positives qu’ils en parlent autour d’eux et ce sont souvent les petits ruisseaux qui font les grands fleuves…. Allez courage et merci de nous redonner confiance! :-) »
Laurence Schreinert, le 19/02/14
« On vient de me l offrir car j ai une sainte horreur de toutes ces expressions convenues, décourageantes et symptomatique d un malaise généralisé ! Je viens lire le premier chapitre et ça fait un bien fou !!! Merci pour cette dose d optimisme et ce rappel : le bonheur est en chacun de nous, à nous d aller le chercher ! »
Sophie Pourtein, le 13/01/14
« Cela fait plaisir de voir qu’il y a eu une prise de conscience à ce sujet, et qu’elle ait été relayée par les média.
C’est par un parcours d’expatriée et une joie de vivre naturelle que je suis arrivée aux mêmes conclusions que vous. »
Chloé Dasse, le 16/02/14
« Tout intello que l’auteur puisse-être, ce livre n’est pas un livre intello !
Sa lecture glisse avec facilité, embaumant le cœur et l’esprit d’une joie nouvelle pour vous laisser au bout d’une heure ou deux rempli d’enthousiasme et d’espoir. »
Jeanne Courouble, le 12/02/14
« Je tenais à vous remercier pour ce livre qui tombe à pic dans un moment de ma vie où, suite à l’obtention de ma Licence Sciences de l’Education, je suis en pleine réorientation ! J’ai l’impression d’être nulle et que tout ce que je vais entreprendre risque de tomber à l’eau ou de ne par marcher… Mais c’est vrai qu’on a tendance à se conditionner nous même, à penser tellement négatif que ce qu’on avait craint fini par se réaliser.
Ce livre est une bonne « thérapie », et en tout cas il m’aide à progresser vers des pensées positives et vers le chemin de l’optimisme ! En espérant trouver ma voie … »
Manon, le 30/01/14
« Ce livre est génial pour empêcher de penser en rond »
Alain Dethilloy, le 07/02/14
« Une agréable sensation me traverse le corps après avoir lu votre livre après ma GRANDE pose déjeuner! :) »
Dany Salameh, le 22/01/14
« Bien reçu « ne me dites plus jamais bon courage ! « et déjà lu en 2 traites : une fois dans mon bain, l’eau refroidissait … brr .. impossible de quitter ce livre passionnant .. je l’ai terminé dans mon lit.
Que ce livre réveille les endormis ! »
Marie-Jean Charlier, le 22/01/14
« Toutes les personnes à qui j’ai offert ce livre ont modifié leur vocabulaire. Si tous les lecteurs souriaient un peu plus en prime ce serait vraiment Maaaagique »
Dominique Riu, le 16/01/14
« En voilà un livre qui semble donner la « banane » dans la sinistrose actuelle.
Après lecture, je peux confirmer que ce livre représente un bol d’air par rapport à la sinistrose actuelle. Philippe BLOCH souligne des évidences et illustre parfaitement comment notre langage trahit nos doutes, notre pessimisme latent, notre peur de l’avenir.
Certes, il ne donne pas de solutions mais il nous aide à prendre conscience individuellement de cette autoflagellation franco-française. En attendant que la prise de conscience soit collective… »
Thierry, le 15/01/14
« On vient de me l offrir car j ai une sainte horreur de toutes ces expressions convenues, décourageantes et symptomatique d un malaise généralisé ! Je viens lire le premier chapitre et ça fait un bien fou !!! Merci pour cette dose d optimisme et ce rappel : le bonheur est en chacun de nous, à nous d aller le chercher ! »
Le 14/01/14
« Ce livre devrait être remboursé par la sécurité sociale tellement il fait du bien. »
Yannick Delattre, le 12/01/14
« Pour bien démarrer l’année… avec un médicament non remboursé mais incroyablement efficace »
Jean-Michel Henri, le 04/01/14
« Le livre est court , clair , et donc accessible à tous , une vraie leçon de pragmatisme à méditer en vue de 2017 !!! »
Antoine Lussignol, le 04/01/14
« J’ai lu et relu ce livre pendant les fêtes… bravo à Philippe Bloch.
Je l’ai acheté car les « bon courage ! » m’ont toujours hérissé le poil… avoir un travail « normal », ce n’est ni le bagne ni la galère !
Magnifique le commentaire de l’expression « le problème, c’est que… ». Les losers voient les problèmes, les winners voient les solutions ! »
Georges Prono, le 26/12/13
« Déçu ! Ne me dites plus jamais « que seuls les échecs font avancer » (cf. page 49) votre apologie des échecs m’a stoppé net ! cette affirmation est pour moi l’apanage des « petits » frenchies ! désolé ! »
Georges Prono, le 26/12/13
« Au lieu d’envoyer une carte de vœux j’envoie votre livre, c’est un message plein d’optimisme et de bon sens en plus j’ai bien rigolé surtout au passage où vous êtes dans le train avec les 2 jeunes cadres, c’était excellent!
Un gros merci pour vos belles pensées et les barres de rire. »
Malika Bouzouina, le 20/12/13
« Je viens de finir votre livre : il est remarquable de vérité et plein d’optimisme.
Un grand bravo pour cet ouvrage que tout le monde devrait lire. »
Christophe Nicolas, le 18/12/13
« Je viens de dévorer votre livre « ne me dites plus jamais bon courage ». Je suis effaré depuis plusieurs année exactement comme vous de la fréquence de cette expression qui se réduit encore à sa plus simple expression dans la bouche d’un de mes collègues, avec son fameux « sois courageux » du matin dans le vestiaire.
Je suis un chirurgien de 36 ans, et suis entouré par des dépressifs baby boomer incapables de parler anglais, incapable de sourire, incapable d’exprimer un quelconque esprit d’entreprendre. Il faut nous pardonner : la 2e année sélectionne les étudiants les plus solitaires, les plus bachoteurs, doués de mémoire sans créativité.
Les patients aiment l’humour et sont toujours surpris de me voir sourire. Je mets toujours de la musique au bloc et leur demande ce qu’ils aimeraient entendre : « comme vous voulez docteur…- Ah, vous allez le regretter… !!!) Quand je leur dit qu’il faudra peut-être les réopérer dans 20 ans, ils me disent toujours quelque chose comme « si je suis encore là… » : je leur réponds alors la fameuse phrase de Voutch « vous savez, le pire n’est pas certain… ».
Le changement est insupportable pour l’équipe et pourtant je leur répète toujours que cela empêche de s’endormir. Une infirmière m’a dit : « comme tu aimes la nouveauté, on pourrait créer une boîte à idées et la meilleure idée sera récompensée par un dîner pour 2 dans un bon resto. Mon idée à moi est d’avoir créer la boîte à idée. Bonne idée, non ? ». J’ai trouvé ça génial.
Je suis né au Havre et j’ai toujours vu l’horizon sur une mer déchainée ou apaisée. Je crois comme Jacques Attali qu’il y a en France des marins et des terriens mais que ces derniers ont pris le pouvoir.
J’espère un jour vous croiser pour vous parler des chirurgiens français, adorés à l’étrangers (je l’ai vu en Norvège, au Japon, en Floride ou en Italie…) et pourtant tellement déprimés dans leur bloc (« ah les impôts, la sécu, la cadre, le directeur,… ») »
Thomas Apard, le 15/12/13
« C’est tellement vrai, en particulier le « dans ce pays » qui me révolte depuis des années.
(…)
Continuez. J’adore ! »
Christian Legregeois, le 15/12/13
« Ne me dites plus jamais bon courage ! … Merci ! Que du bon !
Enfin une lecture qui me conforte dans mes pensées. A en rire aussi tellement vous dites vrai. Un livre que j’ai acheté en plusieurs exemplaires pour de beaux cadeaux de Noël et une bonne réflexion pour ceux qui le liront….. provocation de ma part je le reconnais.
Pour certains de mon entourage, (non familial), qui se lamentent de la vie, qui pensent sans cesse qu’il y a pire qu’eux en explorant ma situation, mes choix de vie, et tout ce qui en découle……bien que je ne leur ai rien demandé d’ailleurs. Je leur dédie avec fierté les pages 88 et 89 du chapitre « Ça ne marchera jamais » qui sont la base de ma philosophie de vie. Cette liberté d’Etre, de penser … beau cadeau de la vie, d’une grande valeur. Ça au moins, personne ne me le prendra !
Merci à Vous, je me sens moins seule (sourire)…et mon appétit de la vie va continuer son chemin en toute sérénité accompagné des difficultés que le système m’impose parfois. »
Valérie Simard, le 15/12/13
« On devrait en imposer la lecture à TOUS les Français ! »
Estelle Monraisse, le 10/12/13
« Lire votre livre m’a fait oublier l’espace d’un instant la morosité du métro parisien !
J’ai beaucoup appris et beaucoup ri, ces clichés sont tellement vrais ! »
Elody, le 08/12/13
« J’ai tellement apprécié « ne me dites plus jamais bon courage »que j’ai décidé de l’offrir à quelques Clients ou amis.
C’est un livre qui mérite d’être diffusé « à tort et à travers » (comme on dit, puisque c’est le sujet) et d’être lu et relu. »
Jean Pierre Cohé, le 07/12/13
« Merci pour ce petit livre sympa criant de vérité qui permettra à certains d’avancer et de voir la vie autrement. En tous cas, plus personne n’ose me dire bon courage en signature de mail maintenant. ça rentre ! »
Iwan Le Strugeon, le 04/12/13
« Bravo pour ce livre drôle, vrai et simple. »
Jean Pierre Meoc, le 04/12/13
« Je viens de finir votre livre ,je pense que je vais le faire tourner à bon nombre de mes connaissances.
De nature assez optimiste, il m’a ouvert les yeux à quel point la morosité s’était installée de manière insidieuse et pourtant rapidement dans notre façon de vivre notre UNIQUE existence .
Un bon moment passé a vous lire et découvrir votre générosité pour la vie. »
Thomas fortin, le 02/12/13
« Bravo ce livre m’a conquis et comme tout bon livre m’a redonné du niac car ma qualité d’entrepreneurs récidiviste (green project, Verte Campagne, Entre les Mots, Dada1920, Lalouette et actuellement Séson) j’en un petit stock mais il est bon quelquefois de le voir regonfler soit par des partages entre entrepreneurs soit par des lectures comme ton livre. »
Antoine Ferchaud, le 01/12/13
« Rarement j’ ai lu une personne qui a une vision aussi claire de la société et du fonctionnement humain dans des domaines aussi complexes tout en l’ expliquant de manière simple et compréhensible par tous.
Dommage que l’ on ne vous offre pas plus d’ occasions de les faire savoir, ne serait ce que par le biais des médias, surtout quand on voit tous les navets qui passent à longueur de temps partout.
J’ ai aussi beaucoup rigolé notamment le passage de la « boulangère et sa victime ».
Aussi « l’ étranger et le punching ball » entre autres…
Je garde votre livre précieusement et comme Stéphane Soumier s’était engagé à reprendre les personnes qui diraient « ce pays »… je m’ engage à modifier ma vision des choses concernant ces craintes que vous avez très bien cernées.
En ce qui concerne les abus de langages, je n’ y ai jamais eu recours.
Je sais que ce ne sera pas facile mais dans la vie il y a des « rencontres » qui peuvent changer un destin.
J’ avais remarqué à l’ époque où vous animiez sur BFM une émission régulière, votre amabilité envers votre collègue Arnaud et j’ ai retrouvé cette gentillesse dans votre livre.
Je me suis fixé un challenge dans l’ avenir ; trouver un client supplémentaire pour combler le manque à gagner lié à la baisse de trafic depuis septembre 2013.
Je n’ ai jamais osé le faire, persuadé bêtement que je n’ y arriverais pas d’ autant plus que tout le monde me dit  » c’ est mort » « c ‘est foutu » « il fallait rester salarié »
Je vais suivre vos « conseils » et insister et non pas jeter l’ éponge au bout de la 1ère tentative.
J’ ai toujours aimé l’ école ( je tiens ça de mon père qui n’ a pas eu la chance d’ y aller et qui m’ a incité à bien travailler et apprendre car c’ est la clé d’ une vie réussie d’ après lui ) J’ en ai fait de même au travail toute ma vie mais de ce côté là, j’ ai été déçu car ça ne sert pas à grand chose.
Le fait d’ être consciencieux et ne pas être toujours à attendre l’ heure de fin du travail, vous attire la haine des collègues et souvent une forme de mise à l’ écart sans espérer une bienveillance des supérieurs.
C’ est à cause de ce climat pourri vécu plusieurs fois que j’ ai décidé de travailler pour moi même si ce n’ est pas facile mais le travail ne m’ a jamais fait peur.
Je vais offrir un livre (le même) à une amie qui démarre une activité et est démoralisée en ce moment.
Merci beaucoup et continuez à nous éclairer de votre sympathie et votre optimisme. »
Tebsi Abdellakim, le 29/11/13
« Vous soulevez un sujet si important et profondément ancré dans notre pays. Mon associé et moi avons 26 ans, nous sortons de nos études et sommes en pleine création de notre entreprise. Les constats que vous déplorez se confirment au quotidien et sont d’autant plus criants de notre point de vue de jeunes entrepreneurs.
Alors merci de mettre sur la table ces constats sur « l’état d’esprit » français qui freine notre avancée. Vous entendre donne du baume au coeur et crédibilise notre démarche de voir grand et porter notre projet aux sommets.
Bonne journée et bon courage 😉 (on a du vous la faire 100 fois mais bon…) »
Benoit Pirard, le 27/11/13
« Je me permets de vous écrire après avoir lu avec jubilation votre ouvrage “Ne me dites plus jamais ‘Bon courage’” : j’ai retrouvé dans celui-ci la description d’expressions de proches, de collègues et par-dessus de mes propres expressions qui, j’en suis persuadé avec vous, sont le symbole et conditionnent notre manière d’agir et de penser ! J’ai donc entrepris de me ressaisir et de gommer tous ces tics de langage qui sont autant de mauvais signes envoyés à nos interlocuteurs.
J’ai trouvé particulièrement vraie la réflexion que vous menez sur le “Ce sera tout ?” des boulangères et, plus généralement, l’impatience des vendeurs à se débarrasser de leur interlocuteur au lieu de prendre le temps de le comprendre et de le séduire. »
Brieuc Benezet, le 23/11/13
« GRAND MERCI ! 1000 FOIS MERCI »
Marc LEONARD, le 24/11/13
« Merci d’avoir publié votre livre qui répond à une vraie problématique de langages. Bien des choses peuvent changer si nous commençons par adapter notre vocabulaire. Je me bats d’ailleurs tous les jours contre mes tics de langage négatifs. »
Cédric Lombard, le 23/11/13
« Tu as raison de fustiger la France qui rétrécit et la litanie des médiocres qui ne regardent que vers le bas et qui ne voient que les bouteilles à moitié vide. »
Jean-Noël Fourel, le 19/11/13
« Je viens d’acheter votre livre ce Samedi et je l’ai dévoré avec autant de plaisir que tous les autres. Une belle leçon d’optimisme et  » de coups de pieds aux fesses » dans cet environnement morose actuel dans lequel on se laisse souvent allé au pessimisme… Un grand Merci Philippe mais cela n’empêche pas le chef d’entreprise que je suis a toujours combattre et dénoncer « avec optimisme » je précise la pression fiscale actuelle… J’y mettrai dorénavant un peu plus de modération. Au plaisir de vous revoir. »
David Butin, le 19/11/13
« Une belle surprise que ce livre déniché en attendant mon TGV; des remèdes si simples auxquels je n’avais pas pensé pour lutter contre la morosité ambiante et les propos défaitistes; je ne pensais pas que ces petites phrases, assénées chaque jour, pouvaient empoisonner à ce point notre moral, et pourtant… c’est évident!
ex: bon courage; le problème, c’est que…;vivement la retraite; il est bien gentil… à lire et faire lire; mieux qu’un anxiolytique, ce petit livre pourrait-il réduire notre consommation record en psychotropes de tous ordres? Un vœu pieu… »
Noémie, le 17/11/13
« J’ai adoré excellent bouquin je recommande sa lecture,il permet à chacun de repositionner son vocabulaire de façon consciente
pour progresser intelligemment »
Jacques, le 17/11/13
« Bravo et merci pour votre message d’énergie et d’optimisme dans « ne me dites plus jamais bon courage » que je viens de lire en quelques heures, le sourire aux lèvres!
We just have one life, let’s keep it simple… »
Nicole Toutoungi, le 16/11/13
« Bonjour !
Je voulais vous laisser un mot parce que je viens de lire et relire votre livre « ne me dites plus jamais bon courage ».
Le mot est : « MERCI « . Je suis prof d’histoire géo en lycée et je me bats pour MOTIVER depuis plus de 20 ans des petits français. vos idées m’en ont donné quelques autres que je vais développer dans mes relations avec mes mômes, dont certains ont les parents qui travaillent (aient) à Arcelor.Mettal… Belle ambiance!
Pourtant je reste une grande rêveuse qui croit dans le pouvoir de la volonté. Merci de me montrer que je ne suis pas toute seule ! J’en ai eu les larmes aux yeux en lisant votre conclusion !
Et j’ose ainsi vous écrire…
Merci et encore!
Christiane, une prof passionnée! »
Christiane Bilicki, le 14/11/13
« Merci pour ce léxique anti déprime;
nous sommes les premiers prescripteurs dans le tricastin!
Il devrait être lu par tous les français ronchons !
nous partageons à 100/100 ce texte qui secoue les neurones (le Français en a bien besoin)
les médias également qui se délectent dans les news catastrophes!
ENFIN un petit opus qui donne du peps.»
Loupile et Yves, le 8/11/13
«J’adore votre nouveau livre, félicitations. C’est un sujet que j’affectionne particulièrement : lutter contre la morosité, faire en sorte que les gens « se bougent ! » !
Enfin un livre qui fait du bien ! Court, facile à lire, il revient sur 12 expressions qui sont devenues courantes dans nos quotidiens et qui inconsciemment nous pourrissent le moral et, il faut bien le dire, nous « coupent les ailes ». Exemples ? « C’était mieux avant », « Bon courage », « Pourvu qu’il ne m’arrive rien »…»
Cécile Molliet, le 8/11/13
« C’est extrêmement pertinent, cela permet de pointer du doigt certains réflexes français dont on a du mal, il est vrai, parfois, à se séparer.
Merci encore pour cette passionnante lecture.»
Florian Palussière, le 7/11/13
« Votre livre devrait être remboursé par la sécurité sociale ….en remplacement des antidépresseurs !
J’ai beaucoup aimé ce livre et j’ai très souvent souri en reconnaissant des situations tellement vraies que je me demandais si vous n’étiez pas venu dans mon entreprise sans que je le sache !!!! Bravo. »
Château Loupiac-Gaudiet, le 4/11/13
« Je viens de dévorer votre livre Opération Boomerang… Rare pour moi de lire un tel pavé en 2 jours! Je le garde en tout cas et y reviendrai à coup sûr pour lire et relire encore vos précieux conseils.
Enfin quelqu’un d’optimiste! Ca fait du bien de vous lire, ça motive pour grandir. »
Patrick Banti, le 2/11/13
« Merci Philippe pour ce bol de fraîcheur et cette bonne humeur ! »
Roger Berdugo, le 2/11/13
« Bouquin génial, j’ai plongé hier soir n’ai pu résister. »
Christine Bayle, le 2/11/13
« J’ai A-DO-RE. Quelle pertinence dans ton analyse, ce n’est pas une surprise, et quel pied de nez intelligent à tous les grincheux qui nous encombrent.
Aujourd’hui je partage totalement tout ce que tu constates et nous livres et c’est pourquoi j’ai savouré tes pages avec délectation et enthousiasme.
Je compte l’offrir à quelques amis et te recontacterai pour cela. Je t’embrasse et te crie (de joie) en terminant « Never give up » ! »
Maggie Gilbert, le 30/10/13
« Souhaitons qu’il fasse un carton et que tu sois a l’origine d’un grand élan positif en France. »
Gregory Imbert, le 30/10/13
« Voici un livre à mettre entre toutes les mains et à diffuser au plus grand nombre afin de reprendre de vraies bonnes habitudes et de bannir la morosité qui nous entoure et gâche notre quotidien!!! J’ai eu le bonheur de rencontrer son auteur et de suivre une de ces conférences , Philippe Bloch, un homme débordant d’optimisme contagieux!
Et vous, vous êtes prêt à changer quelle(s) habitude(s) pour améliorer votre quotidien et celui des autres…???
Est-ce que vous êtes prêt à sortir de votre zone de confort???
Très bonne journée à tous !!!! »
Marianne Louge, le 30/10/13
« J’adore. Qu’il fait du bien ce livre… A lire absolument !! »
Christel Fayard, le 30/10/13
« Un régal a lire!!!! »
Virginie Houlain, le 28/10/13
« A lire d’urgence! C’est frais ! »
Vincent Perrault, le 28/10/13
« J’aurais adorer l’écrire moi aussi ! je l’attends d’un jour à l’autre dans ma boîte.
Enfin un ouvrage qui fait du bien et qui va nous donner matière à écrire des articles pour partager avec le plus grand nombre ! »
Cécile Molliet, le 28/10/13
« Avant de lire ton livre, je pensais être quelqu’un de pessimiste (ou du moins pas toujours très optimiste) mais réalise en fait que je fais partie de ceux qui ont encore des rêves ! … tu as bien raison, le meilleur est à venir, la vie est bien trop courte pour ne pas en profiter, so I will « never quit » !!! »
Michel Béthune, le 27/10/13
« Je viens de finir ton livre que j’ai avalé en quelques heures.
Je veux te remercier d’avoir si bien exprimé cet ambiance morose qui nous pourrit actuellement et nous tire vers le bas.
Moi qui suis une incorrigible optimiste, j’arrive ces derniers temps à me laisser aller à toutes ces pensées négatives. Ton livre me permet de croire que tout est encore possible et surtout que je ne suis pas la seule à penser comme ça.
Ton livre devrait être en vente dans toutes les pharmacies à la place de ces antidépresseurs que les médecins délivrent si facilement et que les gens prennent comme si c’était le remède miracle à tous leurs problèmes.
Merci pour ce bon moment que tu m’as fait passé.
Je crois que je vais en offrir quelques exemplaires pour Noël. »
Caroline Allspach, le 24/10/13
« Juste un petit mot pour vous remercier de votre envoie de votre livre, et vous féliciter pour votre prose, très agréable et avec un très bon rythme, et votre verve sur les émissions que j’ai pu visionner (BFM notamment).
Comme vous nous avez dit en réunion que vous étiez ouvert à la critique constructive, je vous livre la mienne – qui suit bien incapable d’écrire un ouvrage comme le votre, précisons-le d’entrée ! – Moi qui suis un franchouillard convaincu (bon…désolé, mais il en faut aussi ! ^^), avec toutes les limites que cela implique, j’en suis malheureusement parfaitement conscient… Il me semble que dans votre ouvrage, on sent beaucoup le pro-Américanisme latent (ou pas, d’ailleurs ! ^^).
C’est une critique « commerciale » ; au sens où il me semble que cela pourrait freiner, à moyen terme, la diffusion de l’ouvrage, qui, au départ, ne s’adresse pas qu’aux managers et entrepreneurs comme vous l’avez fait dans vos ouvrages précédents, mais au grand public, à une large diffusion. »
Alexandre Fanget, le 22/10/13
« Je vous remercie infiniment d’avoir alerté l’opinion sur ces nouvelles expressions que je combats quotidiennement.
Nous étouffons dans le « petit »-petite signature, petit souci, petit café, etc.
Et je corrige le  » bon courage » d’un « bon plaisir ». »
Brigitte Lhuillier, le 22/10/13
« J’ai terminé hier « ne me souhaitez plus jamais bon courage » et je me suis bien marré.
Bon je dois avouer aussi que je me suis vu à de nombreuses reprises mais je trouve que tu as totalement raison.
Une autre façon de constater que les français n’y croient plus dans un autre registre c’est ce matin j’appelle le médecin car mon fiston à une bronchite et une otite…que j’ai chopée…le doc nous examine et nous dit « voila, je vous arrête combien de jours ??? » comme si c’était naturel et automatique…j’ai halluciné, comme si la Sécu avait besoin de ca… »
Julien Averty, le 22/10/13
« Le livre qu’on voudrait prêter à tous ceux qu’on croise le matin…
C’est le petit livre orange qu’on a envie de déposer sur le bureau d’à côté. Ou près de la machine à café lyophilisé. On en laisserait même un dans l’ascenseur s’il y avait un strapontin pour lire tranquille… Son titre ? « Ne me dites plus jamais bon courage ».
Combien de fois vous a-t-on dit « bon courage », comme si vous partiez à la guerre au lieu d’aller travailler ? Et « ça ne marchera jamais ton truc » ? Vous ne comptez plus. Un jour, Philippe Bloch en a eu assez de ces phrases qui minent toutes les envies. Il en a tiré un lexique anti-déprime pour aider à s’en débarrasser… Et tout de suite après, enfin libre, plonger avec délices dans un nouveau projet. Euphorisant. »
My Little Book Club, le 21/10/13
« 1) c’est revigorant, et l’on se rend compte que l’on produit (parfois…) soi-même de la mauvaise énergie. Il faut « inverser » la polarité… !
2) c’est courageux de prendre la parole sur ces thèmes dans un moment où on a l’impression que tout se délite ici… !
Raison de plus….bravo ! »
Yves Blanchard, le 21/10/13
« Philippe Bloch, qui vit une bonne partie de son temps à New York tout en étant basé également à Paris, démonte brillamment douze expressions couramment employées chaque jour qui contribuent à miner notre moral collectif. A la suite de l’interview de Philippe qu’il a réalisé cette semaine (vidéo ci-dessous), Stéphane Soumier s’est engagé publiquement à faire la chasse à ces douze expressions, et tout particulièrement à l’expression « dans ce pays », qui se substitue trop souvent à l’expression « dans notre pays » ! Les expressions idiomatiques que nous employons révèlent un état d’esprit et sont symptomatiques de notre culture ambiante. La double culture française et anglo-saxonne de Philippe Bloch, lui a permis de repérer douze expressions qui nous minent le moral et renvoient à de vrais blocages de la société : de « Bon courage », entendu le matin à la sortie de l’ascenseur (voir vidéo ci-dessus), à « on a toujours fait comme ça » qui témoigne de la routine, en passant par « vivement la retraite! », « il est bien gentil » ou « à l’étranger » qui dénote une xénophobie latente. Je ne vous les dévoilerai pas toutes afin de vous inciter à acheter ce livre, qui pour la modique somme de dix euros, vous redonnera un moral d’enfer, et devrait selon moi être remboursé par la Sécurité Sociale ! »
Nicolas Bordas, le 20/10/13
« Vous redonnez de l’espoir au gens. Ils en ont bien besoin. »
Benoit Mahé, le 20/10/13
« Je viens de commencer la lecture de votre dernier essai et en arrivant au chapitre 4, je ne peux m’empêcher de vous écrire ce mot pour vous dire un grand merci !
A chaque fois, depuis Service Compris, je me sens moins seul en lisant vos lignes.
J’adore « le problème c’est que », je suis un combattant irréductible du quotidien contre cette expression que mon épouse et associée utilise au début de chacune de ses phrases. Vous m’avez donné la clef de ma fortune : au rythme du doublement du grain de riz sur les cases d’un échiquier je vais demander à ma femme de doubler la mise à chaque fois qu’elle utilise cette expression. Dépêchez vous de dégager dans votre agenda un temps pour un repas, je vous offre un bon resto dans très peu de temps. »
Bertrand Micol, le 18/10/13
« Une injection d’optimisme qui fera sûrement du bien.
Bon courage… euh pardon, « Bravo, et profites en bien ! »
Benoit Mahé, le 17/10/13
« Je partage ta vision des choses, je prends plaisir à transmettre aux gens chaque jour les biens faits d’être positif, de la portée des mots, de nos actes… »
Sophie BARON, le 17/10/13
« Bon courage ! Voilà une expression qui m’énerve quand on me le dit ou quand je l’entends. Moi qui suis positive, qui aime la vie et pense que tout peut s’arranger, pourquoi les gens me disent bon courage ! Eh bien, Philippe Bloch y répond dans son un livre et j’avoue l’envier un peu car c’est le livre que j’aurai voulu écrire. »
Laurence Benatar, le 17/10/13
« C’est une démarche salvatrice ! »
Frederic Iselin, le 17/10/13
« Au fond il s’agit juste de rappeler à chacun que sa propre générosité est la clé de la réussite. »
Charles Ditandy, le 17/10/13
« Depuis je me fais horreur en me prenant en flagrant délit de « bon courage » et j’ai bien du mal à trouver une formule alternative (« Have a nice day » est bien pratique de ce point de vue … mais pas universel). En revanche mes collaborateurs doivent te haïr car je leur prodigue la même discipline !!!! »
Vincent Dauffy, le 17/10/13
« Et bien voila des mots qui touchent le fan que je suis !
Je me précipite pour acheter le dernier Bloch. »
Thierry Lesongeur, le 17/10/13
« … Insupportable tous les matins en partant au travail.. Comme si travailler est devinu une maladie grave!!! Bravo mes proches sont ravis… 3 ans a répéter tous les matins « arrêtez de le souhaiter bon courage »… Vous vous l’avez écrit et comme d’habitude avec brio… J’espère lire un jour… « Ne vous inquiétez de rien »… Car la c’est toujours le pire qui nous attend »
Anria Fiorini-tiberi, le 17/10/13
« J ai adoré ton livre !!! Je viens de le lire et a chaud : Je suis comme toi maladivement optimiste !! Et en plus j’aime le travail, mes amis, mes collaborateurs, mes clients,… et en plus je suis heureux !! Je suis du coup, sur que l on va être de plus en plus nombreux 😉 je le diffuse moins brillamment que toi, mais je le fais a chaque occasion avec mes étudiants et collègues !! Notre force vaincra »
Stéphane Fériaut, le 17/10/13
« Je souscris à 100% à cet état d’esprit !! J’aime particulièrement ton titre qui résume très bien la situation. Ne me dites plus jamais bon courage… à une exception près, si je me fie à mon oncle Daniel Pennac dans Cabot-Caboche « Quand tout est fichu, il y a encore le courage ! »
Ça va être un succès ton nouveau livre… »
Jérôme Pennacchioni, le 17/10/13
« Merci et bravo pour ta belle énergie positive ! »
JAG, le 17/10/13
« Bravo pour ce nouvel opus. Le chapitre 12 et la conclusion sont remarquables. La puissance publique (et les administrations) devrait en faire son livre de chevet.
Peut-être faudrait-il le distribuer aux pensionnaires (malgré eux) de Pôle emploi ? ainsi qu’à ceux de l’Education nationale qui peuvent oublier parfois qu’ils accompagnent les entrepreneurs de demain… »
Pierre Blanc, le 17/10/13
« Quelle bonne idée, déjà ,ce titre. !
Ce bon courage que l’on m’adresse aussi tous les matins depuis des lustres dans l’ascenseur en arrivant au bureau m’a toujours été insupportable.
Je réponds invariablement : « pourquoi ? » , ce qui a pour effet de plonger mon interlocuteur dans des abîmes de perplexité … »
Erik Thomas, le 17/10/13
« Je viens de visionner votre interview sur BFM Business où vous parlez de votre dernier ouvrage : »Ne me dites plus jamais bon courage. » Je suis en passe de terminer mon Master de Sciences Politiques et Relations Internationales, qui m’a amené à étudier aux USA et aux Philippines, où je me trouve actuellement depuis un peu plus de 9 mois.
Je tenais à vous dire à quel point vous aviez raison dans votre analyse. Elle redonne du courage à ceux qui, comme moi, peuvent parfois douter, malgré leur attachement à la France.
Encore bravo. »
Thibaud Vincendeau, le 17/10/13
« Un vrai moment de plaisir et de réflexion. »
Marc Fiorentino, le 16/10/13
« Idée géniale, et analyse plus que pertinente ! »
Jean-Baptiste BESSON, le 16/10/13
« Petit à petit, tout devient moins petit ! »
Frank Savariau, le 16/10/13
« Excellent ! Ca fait un bout de temps que mon épouse et moi trouvons cette expression « bon courage » complètement déplacée.
T’imagines combien de fois par jour je peux l’entendre dans la rue avec mon handicap…
Et mon épouse dans son labo d’analyse médicale : ses clients lui disent « bon courage » tandis qu’elle ne fait « que » son travail.
Bref, nous n’avons pas encore lu le livre mais le titre est déjà génial !»
Jérôme Adam, le 15/10/13
« A real page turner ! »
Béatrice Mérat, le 13/10/13
« Tous mes remerciements à toi pour ton lexique anti-déprime… Que je suis en train de consommer avec la voracité que commande ton optimisme communicatif ! Le problème, c’est que tu es bien gentil mais que ça ne marchera jamais dans ce pays, Philippe ! »
Pierre-Michel Kaufman, le 11/10/13
« Très précieux dans la période ! »
Jean-Pierre Bel, le 08/10/13
« TOUT est dedans !
Symboles de renouveau, dynamisme, jeunesse, espérance, envie de s’en sortir, de tenir, etc. :
TOUT,
tout un programme,
et nous sommes TOUS obligés d’adhérer !! »
Dominique Glocheux, le 7/10/13
« Merci pour votre morceau d’optimisme militant. Il fait du bien et il est accessible à chacun. »
Mireille Faugère, le 7/10/13
« J’ai dévoré ton livre, et je vais en effet essayer d’arrêter avec les « bon courage »…
Futur gros succès en perspective… Bravo ! »
Matthieu Sinclair, le 7/10/13
« Merci pour cet ouvrage à la fois drôle et revigorant. »
Bruno Le Maire, le 7/10/13
« J’ai beaucoup aimé ton livre … Tu devrais le metttre en vente dans toutes les bonnes pharmacies !  »
Philippe Hersant, le 6/10/13
« Nous avons adoré le titre et avons bien rigolé sur les vérités bien connues du quotidien de nos compatriotes. Pourtant les français jouissent d’une qualité de vie bien meilleure que d’autres grandes nations. »
Sevdalina Panova, le 6/10/13
« Un grand merci pour cette grande leçon d’optimisme qui a ensoleillé mon grand dimanche ! Il y a quelques années, à une de mes collaboratrices qui me répondait « on a toujours fait comme ça », j’ai rétorqué « ce n’est pas parce que l’on fait des conneries depuis dix ans qu’il faut continuer » ! »
Dominique Bénézet, le 6/10/13
« Je viens de terminer ton « petit livre orange »…..lu d’une traite.
C’est un livre très personnel et très universel que tu signes là.
Personnel : le chapitre 7 est sans doute celui qui te décrit le mieux.
Universel : les tics de langage révélateurs que tu décris sont tellement présents au quotidien que chaque lecteur pourra se dire : « j’aurai pu écrire ce chapitre ! »
Bravo ! »
Jacques Chaize, le 6/10/13
« Tout cela me semble cruellement d’actualité ! »
Antoine Coquet, le 4/10/13
« Je me régale ! »
Corinne Khayat, le 4/10/13
« J’ai trouvé sa lecture jubilatoire ! »
François Dufour, le 4/10/13
« Gloups : je dis ça tout le temps… »
Guillaume Pépy, le 3/10/13
« Désespérée de ne pas l’avoir écrit moi-même – TOUT ce dont je me plains tous les jours ! »
Sophie de Menthon, le 3/10/13
« Un vent de fraîcheur ! »
Kenneth Grand, le 3/10/13
« J’ai moi-même toujours été irrité par les gens qui disent à leurs collègues « Bon courage ! » en sortant de l’ascenseur le matin. C’est presque aussi désolant que ceux qui disent « Bonsoir » à partir de 16 heures ! »
Denis Kessler, le 2/10/13
« Très sympa, je le trouve assez « jouissif » avec toutes ces expressions où (malheureusement) on se retrouve ! »
Pascal Le Guern, le 02/10/13
« Le sujet est superbe et le titre gourmand… J’espère que tous les malades se jetteront sur le remède ! »
Jean-Michel Lefevre, le 01/10/13
« A prescrire en salles d’attente de psy »
Brice Auckenthaler, le 30/09/13
« Une bouffée d’oxygène à imposer au quotidien, un vade mecum à distribuer à la sortie de nombreux établissements (pas tous publics), en bref une saine et ardente obligation de diffusion urgente au plus grand nombre…
J’y contribue et vais encore y contribuer ! »
Stéphane Caminati, le 30/09/13
« J’aime ton livre.
J’aime sa couverture.
J’aime sa mise en image.
J’aime ton style, imagé et direct ; on a l’impression de t’entendre parler.
J’aime, entre autres, le chapitre 6.
J’aime ta dédicace à Robin.
Je n’aime pas la citation de Seguéla.
Je n’aime pas ta photo où tu baisses le nez, tout triste, comme si tu avais fait une bêtise, alors que tu devrais être tout fier, redressé et dynamique, comme on te connaît, nom de dieu ! »
Gabs, le 30/09/13
« Fuck la déprime ! Le combat continue : mort aux facheux… »
Jean-Yves Couëffé, le 30/09/13
« Enfin un bouquin qui donne la pêche, merci Philippe ! Avec le orange qui claque, un jour tout gris, ça tombe bien. »
Véronique Girard, le 30/09/13
« Bravo et merci pour ton bouquin que je viens de terminer et que j’ai dévoré ! J’ai particulièrement aimé les chapitres « Ce pays » et « à l’étranger ». Tu écris très bien : c’est léger, enlevé et nerveux ! Encore bravo pour cet acte politique au plus haut point : puissent nos compatriotes te lire et suivre tes encouragements ! »
Pierre Lauzeral, le 29/09/13
« Je ne souhaite qu’une chose : que votre livre soit un best-seller, qu’il se vende en millions et surtout qu’il secoue les puces des Français, qui en ont bien besoin. Je vous félicite pour ce petit bijou, qui, vous connaissant, ne sera pas le dernier sorti de votre plume. »
Béatrice Mérat, le 28/09/13
« C’est roboratif, ça fait du bien, un superbe coup de pied au cul  de la morosité ambiante et de la sinistrose mimétique qui  tente de gagner chaque jour un peu plus notre société. Une excellente potion contre la déprime, à administrer tous les jours sans modération. A nous  d’être des exemples.
Vive la vie!!! »
Hervé Sérieyx, le 27/09/13
« C’est tellement bien écrit et plein de bon sens ! »
Serge Eyrolles, le 25/09/13
« Très vivant, positif, illustré… Super bon moment. »
Augustin Paluel Marmont, le 08/09/13
« GÉNIAL, j’ai adoré tout simplement. Ce nouvel opus est tout simplement génial. Je sais et on peut peut-être me le reprocher, je suis un éternel optimiste mais là, j’ai pris une nouvelle dose, enfin plusieurs doses et pour longtemps par un véritable professeur en la matière. »
Jean-Bernard Falco, le 25/08/13
« L’histoire me sera favorable, car j’ai l’intention de l’écrire. »
Winston Churchill
« Le bonheur n’est pas un événement, c’est une aptitude. »
François de La Rochefoucauld
« Il faut beaucoup de courage pour montrer ses rêves à quelqu’un. »
Erma Bombeck
« La vie est trop courte pour être petite. »
Benjamin Disraeli
« Le pire n’est jamais sûr, mais le meilleur se mérite. »
Jacques Attali
« Là où croît le péril croît aussi ce qui sauve. »
Friedrich Hölderlin
« J’ai toujours préféré la folie des passions à la sagesse de l’indifférence. »
Anatole France
« Aujourd’hui est mauvais, et chaque jour sera plus mauvais, jusqu’à ce que le pire arrive. »
Schopenhauer
« Il faut avoir une musique en soi pour faire danser le monde. »
Friedrich Wilhelm Nietzsche
« Les limites sont une invention de l’homme. »
Yannick Agnel
« Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde. »
Gandhi
« La terre compte cinquante-trois millions de Français et trois milliards d’étrangers. »
Pierre Daninos
« L’avenir m’intéresse, car c’est là où j’ai l’intentionde passer le reste de ma vie. »
Woody Allen
« En regardant passer les trains de la modernité, nous laissons s’enfuir notre destin. »
Jacques Séguéla
« Ce n’est pas le tout d’être heureux, encore faut-il que les autres ne le soient pas… »
Jules Renard