avis lecteurs
Il devrait être obligatoire dans les établissements scolaires tout autant que certains autres ouvrages connus! »
Cécilia PENARD, le 27/08/16»
Les retours sont: ce livre est top! »
Delphine, le 22/02/16
J’ai lu votre livre entre plusieurs gorgées de café.
C’est un GRAND livre contrairement à ce que Christine KERDELLANT écrit sur la quatrième de couverture » un petit livre désopilant »..
Je vais tout lire de vous
Vous m’avez, en 148 pages, donné l’envie de voir la vie autrement.
Vos mots sont simples et percutants.
Votre vision est tellement réaliste.
Un GRAND merci, et bonne journée… »
Virginie LECANU, le 11/01/16
In optimism we trust !!!”
Xavier Gilleron, le 30/12/15
Patricia SEIBERT, le 22/12/15
J’ai particulièrement apprécié les illustrations que vous avez incluses dans cet opus. Elles apportent une touche de légèreté et permettent aux citations de se détacher clairement. »
Julien Vaillant, le 24/11/15
Isabelle LASO-FERRARI,le 21/11/15
Colombe Paland, le 21/11/15
Corinne, le 19/11/15
Merci Philippe Bloch pour vos livres pleins de bon sens et d’enthousiasme. »
Corinne, le 12/11/15
Julien Vaillant, le 28/10/15
David Azria, le 27/10/15
En le parcourant , j’ai retrouvé les valeurs biblique , la foi du chrétien….qui espère même au delà de toute espérance.
En effet , on nous parle souvent de la morosité ambiante qui règne dans le pays et que les français sont les plus pessimistes du monde , mais ces sondages je ne crois pas qu’ils prennent en compte la vie des français croyants….qui vivent les principes que vous décrivez dans votre livre , au travers des écritures.
Un exemple sur la puissance de nos paroles…les enseignements de la bible en parlent largement.
Encore une fois , merci pour votre formidable livre qui met en évidence en effet les principes de vie.
Il fait voir grand , car les petites visions n’ont pas le pouvoir d’émouvoir l’âme humaine…! »
Brice Roland Massamba, le 26/05/15
Je voulais donc simplement vous dire merci pour votre ouvrage, merci de rappelé au gens qu’il tient à nous de changer les chose, que nous sommes maître de notre réussite ou de notre échec, et que l’échec ne signifie pas la fin, mais un nouveau départ.
Je ne vous dis donc pas bon courage, mais plutôt bonne continuation à vous. »
Mustapha, le 6/05/15
Cette morosité ambiante, ces gens qui râlent pour tout (même de la pluie !! ) qui broient que du noir alors que leur vie est comblée de « petits » rien …. Vous avez tellement raison.
Je ne suis pas d’origine Gauloise mais la France est un pays généreux, avec de bonnes valeurs, de bonnes personnes. Sans elle je ne serai pas là… donc j’y crois à fonds en cette France !!! Ils faut juste une prise de conscience, ou un choc culturel … A ma petite échelle j’y contribuerai en tout cas …
Je n’ai pas fait de grandes écoles, je sors d’une cité HLM mais j’ai de grands rêves .. Vous l’écrivez tellement bien pages 34…
Et on peut réaliser nos rêves quel que soit notre travail pourvu qu’on soit empathique (ça se dit ? :-)et généreux en effet… »Claire, le 13/12/14
J’ai 32 ans, j’ai monté ma première boite il y a 9 ans. Boite que j’ai cédé il y a 10 mois à de très bonnes conditions, on peut dire que c’est une réussite.
J’ai recréé une nouvelle boite il y a 6 mois mais depuis j’avais cette sensation d’avoir moins d’enthousiasme, moins d’optimisme, d’être plus blasé, fataliste, que les conditions et le contexte ne sont plus les mêmes qu’en 2005 et que ça serait beaucoup plus dur aujourd’hui.
La lecture de votre livre m’a reboosté et remotivé.
En 2004 j’avais lu « Les 7 habitudes de ceux qui réalisent tout ce qu’ils entreprennent » de Stephen R.Covey et j’avais eu cette même sensation.
Merci.Mickaël BRISSON, le 7/12/14
Vous venez de me réhabiliter dans mon droit à exprimer mon enthousiasme, qu’il est « de bon ton » de modérer quand on veut passer pour une « personne sérieuse » (…Lol), à poursuivre de croire en la force des bons sentiments, quitte à être qualifiée de « gentille », « de charmante », « de rigolote » (… Lol) par nombre de mes amis qui ont cédé au pessimisme et au défaitisme ambiant… Il est vrai que je manque parfois « d’arguments recevables » lors de nos débats autour d’un bon verre de vin ou d’une pétillante coupe de champagne… N’étant pas férue de politique et d’économie, n’étant pas une championne pour citer des références, des chiffres, des ratios précis (que j’oublie presqu’aussitôt les avoir lus ou consultés) qui éblouissent et confèrent un caractère savant à ce que je tente d’exprimer, mon optimisme s’assimile à de la « soap pour ado »… Je dois avouer que je revendique aussi cette image de la rigolote sympathique un peu à contre-courant… Cette image servant aussi ma fainéantise à partir réellement « en guerre » contre ce que j’appelle secrètement « l’obscurantisme mondain »… Bref ! Vous avez aussi réactivé mon devoir d’explorer des solutions plutôt que de me soumettre ou de me lamenter, vous avez réveillé mon penchant naturel pour l’innovation, l’inconnu, le goût d’oser sans se poser 10 000 questions (pour lesquelles il n’y a de toutes manières pas encore de réponses, juste des excuses pour « ne pas faire »…) Ouiiiii ! Vraiment mercis pour ce livre : il résume, il traduit, il éclaire, il ravive, il dit, il donne… Ahhhh !! Que c’est bon de respirer !… »Isabelle, le 23/11/14
A 60 ans passés depuis 6 mois, j’ai appris à mesurer, un peu, mes propos… Mais je l’affirme ici haut et fort : votre opuscule est GENIAL. Bravo et merci!
Etienne Badolle, le 4/11/14
« Rentrée du Québec il y a 6 mois pour monter ma société de conseil en stratégie et gestion de projets, la lecture de votre livre » Ne me dites plus jamais bon courage! » m’a enthousiasmé et devrait selon-moi être remboursé par la SECU ou du moins disponible dans toute bonne pharmacie qui se respecte. Je ne reconnais que très peu mon pays depuis mon retour. À l’audace d’entreprendre s’est substitué le statu quo. À l’émulation et le « Think and Act collective », s’est substitué la jalousie et l’envie vis à vis de la réussite ou simplement l’envie de réussir du voisin. Au vertus du travail et du dépassement de soi s’est substitué le culte de la médiocrité. Je dois avouer que je pense parfois, pour ne pas dire souvent à repartir. Je n’ai que 32 ans et ne peux et ne pourrai me résoudre à entendre que je n’aurai jamais du monter une société, mais rester salariée, faire profil bas et attendre que l’orage passe. Je veux tout et plus encore.Tout comme vous, j’entends au quotidien toutes ces petites phrases ô combien exaspérantes et parfaitement inutiles. J’ai coutume de dire que depuis mon retour, je subis en permanence, une certaine forme de pollution auditive.
Je ne crois pas à l’homme ou la femme providentiel. Les politiques français ont « cent ans de retard » et sont dans la grande majorité du temps dans la réaction au lieu d’être dans l’anticipation. Je pense que les choses pourront peut être évaluer grâce notamment à tous ces gens dont je fais humblement partie qui ont vécu de nombreuses années à l’étranger et qui font le choix de revenir en France. Encore faut-il que l’on nous entende et que l’on reconnaisse notre plus-value au lieu de nous renvoyer sans cesse à la figure notre différence! La mobilité qu’elle soit physique comme intellectuelle est selon-moi, notre seule planche de salut.
J’aime quand vous dites qu’il faudrait remettre la gentillesse au goût du jour. Les français dont je suis, mais dont je me sens pourtant si éloignée de par la mentalité, sont bien aigres.
Malgré ce constat, je crois et veux croire en un avenir meilleur, un futur où l’innovation, la créativité et l’audace seraient valorisés, encouragés et salués. Je ne veux pas seulement être française par le passeport, je veux pouvoir affirmer la fierté qui est la mienne d’être française comme savent si bien le faire les américains ou les canadiens.
Merci d’avoir partagé votre expérience dans ce livre un tantinet « poil à gratter » dont nous avons bien besoin par les temps qui courent. »
Colombe PALAND, le 9/10/14
J’ai vraiment apprécié vos points de vue et vais veiller à parler « Optimiste ». Par ailleurs, je ne sais encore sous quelle forme, je vais agir pour mon pays que je trouve (comme tant d’autres pays) formidable.
Encore une fois merci. »Herbert, le 29/09/14
Vous avez écrit exactement ce que j’ai envie de dire à longueur de temps aux gens qui m’entourent ou ceux que je rencontre dans mon métier. »Sylvie Fadigas, le 27/08/14

Pendant un moment, je croyais que vous cherchiez à enfoncer pour de bon le clou du français déjà bien installé sur la croix du petit Jésus (=se sacrifier pour son travail et sa famille, en devenir malheureux et aigri parce qu’on ne fait rien pour ça et pourrir tout notre entourage de « j’en ai marre » sans jamais rien faire pour être plus heureux).
Ce n’est que vers la fin que j’ai profondément pris conscience du message que vous souhaitiez faire passer « bougez-vous les fesses si vous voulez que ça change au lieu de vous morfondre! »… et de mon propre négativisme surtout! J’ai écouté mon entourage, mes collègues… En fait tous se complaisent là-dedans, c’est pathétique. Quand il y a un éclair de lucidité: « on n’est pas si mal loti dans cette entreprise, quand on a bossé ailleurs on sait que ça pourrait être pire », ça ne dure jamais longtemps avant que le pessimisme reprenne le dessus. Après, la difficulté quand on a conscience de ça c’est de rester humble et de ne pas juger, mais plutôt essayer de les mener subtilement vers un autre état d’esprit. Après est-ce que je veux être cette meneuse? Faut voir…
En tous cas votre bouquin, couplé à celui de Chine Lanzmann « guide de l’auto-coaching pour les femmes » sont de merveilleux outils de prise de conscience qu’on peut considérablement améliorer sa vie.
Merci! »
Caroline Lindenlaub, le 02/08/14
Vous avez ma pensée en cet ouvrage alors Merci. Cela changera peut être certaines choses.»
Yakinikou, le 28/07/14
Avec des talents d’écriture que je n’ai pas, bien sur, j’aurais pu écrire certains chapitres; tant il me renvoient à des aspects réels de mon chemin de vie. »
Marie lou de Rango, le 21/07/14
Je n’ai qu’une chose à vous demander : présentez vous à la prochaine présidentielle Svp.
Avec votre voix médiatique vous pouvez passer outre les partis politiques totalement sclérosé.
Je compte sur vous. Tout comme une grande partie de la population française qui ne passe pas son temps à râler mais à agir chacun à son niveau. »
Julien Heidmann, le 14/07/14
Merci pour votre générosité et authenticité. »
Fanny , le 09/06/14
Nous les partageons entre collègues dans notre entreprise alsacienne.
Ils nous font du bien, nous aident à y voir clair dans ce qui nous « limite »
J’ai réappris à travers vos livre que les mots ont du pouvoir. »
Aldric Schloegel, le 26/04/14
Très mauvais lecteur, après l’avoir laissé trainer sur un coin de table et sur les conseils de mon épouse, qui entre temps a pris soin de le lire, je m’y mets enfin. Et là, peut-on parler de révélation… enfin je ne voudrais pas en faire de trop, j’ai dévoré ton ouvrage… Celui-ci m’a conforté dans ma conviction que par de simples gestes, nous pouvons tous être des acteurs…et faire bouger les lignes. J’ai donc tout simplement décider d’offrir, comme MAO en son temps, ce petit livre Orange dont tu es l’auteur. J’ai commencé par l’ensemble de mon personnel et poursuis ma distribution ou la recommandation auprès de mes relations (Familles, Amis, Associés, Clients, Elus…).
Je tenais à te remercier pour cet ouvrage, encore bravo ! »
Jean-Luc Seyvet, le 26/04/14
Valérie Berner, le 02/04/14
Cécile, le 02/04/14
Nicolas Haslé, le 30/03/14
Bravo encore, et merci pour votre lucidité et votre témoignage. »
Christian Buson, le 23/03/14
Ils m’ont dit « Papy tu es génial de nous avoir fait découvrir ce petit bijou, nous mettrons à profit les conseils de Philppe Bloch, merci » »
Jean-Claude Colas, le 18/03/14
d’oxygène pour combattre cette morosité ambiante et notre inertie génétique. »
Philippe Carbonnie, le 16/03/14
Un ami m’a offert votre livre « ne me dites plus jamais bon courage » en me disant: » j ai beaucoup pensé à toi en lisant ce livre, je crois que tu vas te faire un nouveau copain ». Et en effet, quel bonheur de lire cela! Tous les jours, que ce soit dans ma vie professionnelle, en qualité de Responsable RH, ou dans ma sphère personnelle, je lutte contre cette morosité ambiante. Je m’efforce de répéter que l’utilisation d’un mot plutôt qu’un autre n’est jamais neutre. Tous ces termes négatifs ou expressions qui frôlent parfois le ridicule nous enferment dans un pessimisme, une spirale négative.
Oui, le bonheur est une aptitude! C’est même, à mon sens, un mode de vie. Savoir savourer le moment présent, faire des choix, décider, assumer, faire confiance, ne pas avoir peur de se tromper ( il n’y a qu’à ceux qui ne font rien qu’il n arrive rien), contribuer aux bonheurs des autres. Le bonheur est contagieux. Et voir les autres heureux contribuent fortement à notre propre bonheur. En ce moment même, je bouquine en buvant un verre sur une terrasse ensoleillée et je me dis » quelle chance! » Est-ce la conscience que dans certains pays une chose aussi anodine ne serait pas possible pour moi, femme que je suis? Je ne sais pas mais je savoure!
Encore une fois, merci ! »
Feirouz Guettiche, le 15/03/14
Danielle Simongiovanni, le 03/03/14
Julien Deprey, le 02/03/14
Sandrine Birklé, le 28/02/14
Hervé Michel, le 24/02/14
Il m’a fait rire du début à la fin, je l’ai trouvé tellement vrai!
Il m’a fait encore plus échos car je suis une jeune entrepreneur, et autant vous dire que j’ai entendu des dizaines, voir de centaines…, de fois toutes ces expressions.
J’avais un poste à responsabilité dans une agence événementielle, des horaires de dingue mais un boulot que j’aimais et un salaire confortable, autant dire le rêve pour mes proches et mes collègues. Quand j’ai décidé de quitter ce poste pour créer mon entreprise, tout le monde m’a dit que j’étais folle, que je prenais des risques et que ça ne marcherait jamais!
Après un an d’activité, ça marche, je suis épanouie et je démarre bien l’année 2014.
Votre livre a été un rayon de soleil et me pousse à me dire que j’ai fait les bons choix, et que j’aime la France malgré tout!
Maintenant je vais aller le distribuer autour de moi… »
Laurence LAMARCQ, le 24/02/14
Ilan Edéry, le 20/02/14
Laurent Ghijselings, le 20/02/14
Marie-Pierre Jarlegan, le 20/02/14
Nicolas Leroy, le 19/02/14

Laurence Schreinert, le 19/02/14
Sophie Pourtein, le 13/01/14
C’est par un parcours d’expatriée et une joie de vivre naturelle que je suis arrivée aux mêmes conclusions que vous. »
Chloé Dasse, le 16/02/14
Sa lecture glisse avec facilité, embaumant le cœur et l’esprit d’une joie nouvelle pour vous laisser au bout d’une heure ou deux rempli d’enthousiasme et d’espoir. »
Jeanne Courouble, le 12/02/14
Ce livre est une bonne « thérapie », et en tout cas il m’aide à progresser vers des pensées positives et vers le chemin de l’optimisme ! En espérant trouver ma voie … »
Manon, le 30/01/14
Alain Dethilloy, le 07/02/14

Dany Salameh, le 22/01/14
Que ce livre réveille les endormis ! »
Marie-Jean Charlier, le 22/01/14
Dominique Riu, le 16/01/14
Après lecture, je peux confirmer que ce livre représente un bol d’air par rapport à la sinistrose actuelle. Philippe BLOCH souligne des évidences et illustre parfaitement comment notre langage trahit nos doutes, notre pessimisme latent, notre peur de l’avenir.
Certes, il ne donne pas de solutions mais il nous aide à prendre conscience individuellement de cette autoflagellation franco-française. En attendant que la prise de conscience soit collective… »
Thierry, le 15/01/14
Le 14/01/14
Yannick Delattre, le 12/01/14
Jean-Michel Henri, le 04/01/14
Antoine Lussignol, le 04/01/14
Je l’ai acheté car les « bon courage ! » m’ont toujours hérissé le poil… avoir un travail « normal », ce n’est ni le bagne ni la galère !
Magnifique le commentaire de l’expression « le problème, c’est que… ». Les losers voient les problèmes, les winners voient les solutions ! »
Georges Prono, le 26/12/13
Georges Prono, le 26/12/13
Un gros merci pour vos belles pensées et les barres de rire. »
Malika Bouzouina, le 20/12/13
Un grand bravo pour cet ouvrage que tout le monde devrait lire. »
Christophe Nicolas, le 18/12/13
Je suis un chirurgien de 36 ans, et suis entouré par des dépressifs baby boomer incapables de parler anglais, incapable de sourire, incapable d’exprimer un quelconque esprit d’entreprendre. Il faut nous pardonner : la 2e année sélectionne les étudiants les plus solitaires, les plus bachoteurs, doués de mémoire sans créativité.
Les patients aiment l’humour et sont toujours surpris de me voir sourire. Je mets toujours de la musique au bloc et leur demande ce qu’ils aimeraient entendre : « comme vous voulez docteur…- Ah, vous allez le regretter… !!!) Quand je leur dit qu’il faudra peut-être les réopérer dans 20 ans, ils me disent toujours quelque chose comme « si je suis encore là… » : je leur réponds alors la fameuse phrase de Voutch « vous savez, le pire n’est pas certain… ».
Le changement est insupportable pour l’équipe et pourtant je leur répète toujours que cela empêche de s’endormir. Une infirmière m’a dit : « comme tu aimes la nouveauté, on pourrait créer une boîte à idées et la meilleure idée sera récompensée par un dîner pour 2 dans un bon resto. Mon idée à moi est d’avoir créer la boîte à idée. Bonne idée, non ? ». J’ai trouvé ça génial.
Je suis né au Havre et j’ai toujours vu l’horizon sur une mer déchainée ou apaisée. Je crois comme Jacques Attali qu’il y a en France des marins et des terriens mais que ces derniers ont pris le pouvoir.
J’espère un jour vous croiser pour vous parler des chirurgiens français, adorés à l’étrangers (je l’ai vu en Norvège, au Japon, en Floride ou en Italie…) et pourtant tellement déprimés dans leur bloc (« ah les impôts, la sécu, la cadre, le directeur,… ») »
Thomas Apard, le 15/12/13
(…)
Continuez. J’adore ! »
Christian Legregeois, le 15/12/13
Enfin une lecture qui me conforte dans mes pensées. A en rire aussi tellement vous dites vrai. Un livre que j’ai acheté en plusieurs exemplaires pour de beaux cadeaux de Noël et une bonne réflexion pour ceux qui le liront….. provocation de ma part je le reconnais.
Pour certains de mon entourage, (non familial), qui se lamentent de la vie, qui pensent sans cesse qu’il y a pire qu’eux en explorant ma situation, mes choix de vie, et tout ce qui en découle……bien que je ne leur ai rien demandé d’ailleurs. Je leur dédie avec fierté les pages 88 et 89 du chapitre « Ça ne marchera jamais » qui sont la base de ma philosophie de vie. Cette liberté d’Etre, de penser … beau cadeau de la vie, d’une grande valeur. Ça au moins, personne ne me le prendra !
Merci à Vous, je me sens moins seule (sourire)…et mon appétit de la vie va continuer son chemin en toute sérénité accompagné des difficultés que le système m’impose parfois. »
Valérie Simard, le 15/12/13
Estelle Monraisse, le 10/12/13
J’ai beaucoup appris et beaucoup ri, ces clichés sont tellement vrais ! »
Elody, le 08/12/13
C’est un livre qui mérite d’être diffusé « à tort et à travers » (comme on dit, puisque c’est le sujet) et d’être lu et relu. »
Jean Pierre Cohé, le 07/12/13
Iwan Le Strugeon, le 04/12/13
Jean Pierre Meoc, le 04/12/13
De nature assez optimiste, il m’a ouvert les yeux à quel point la morosité s’était installée de manière insidieuse et pourtant rapidement dans notre façon de vivre notre UNIQUE existence .
Un bon moment passé a vous lire et découvrir votre générosité pour la vie. »
Thomas fortin, le 02/12/13
Antoine Ferchaud, le 01/12/13
Dommage que l’ on ne vous offre pas plus d’ occasions de les faire savoir, ne serait ce que par le biais des médias, surtout quand on voit tous les navets qui passent à longueur de temps partout.
J’ ai aussi beaucoup rigolé notamment le passage de la « boulangère et sa victime ».
Aussi « l’ étranger et le punching ball » entre autres…
Je garde votre livre précieusement et comme Stéphane Soumier s’était engagé à reprendre les personnes qui diraient « ce pays »… je m’ engage à modifier ma vision des choses concernant ces craintes que vous avez très bien cernées.
En ce qui concerne les abus de langages, je n’ y ai jamais eu recours.
Je sais que ce ne sera pas facile mais dans la vie il y a des « rencontres » qui peuvent changer un destin.
J’ avais remarqué à l’ époque où vous animiez sur BFM une émission régulière, votre amabilité envers votre collègue Arnaud et j’ ai retrouvé cette gentillesse dans votre livre.
Je me suis fixé un challenge dans l’ avenir ; trouver un client supplémentaire pour combler le manque à gagner lié à la baisse de trafic depuis septembre 2013.
Je n’ ai jamais osé le faire, persuadé bêtement que je n’ y arriverais pas d’ autant plus que tout le monde me dit » c’ est mort » « c ‘est foutu » « il fallait rester salarié »
Je vais suivre vos « conseils » et insister et non pas jeter l’ éponge au bout de la 1ère tentative.
J’ ai toujours aimé l’ école ( je tiens ça de mon père qui n’ a pas eu la chance d’ y aller et qui m’ a incité à bien travailler et apprendre car c’ est la clé d’ une vie réussie d’ après lui ) J’ en ai fait de même au travail toute ma vie mais de ce côté là, j’ ai été déçu car ça ne sert pas à grand chose.
Le fait d’ être consciencieux et ne pas être toujours à attendre l’ heure de fin du travail, vous attire la haine des collègues et souvent une forme de mise à l’ écart sans espérer une bienveillance des supérieurs.
C’ est à cause de ce climat pourri vécu plusieurs fois que j’ ai décidé de travailler pour moi même si ce n’ est pas facile mais le travail ne m’ a jamais fait peur.
Je vais offrir un livre (le même) à une amie qui démarre une activité et est démoralisée en ce moment.
Merci beaucoup et continuez à nous éclairer de votre sympathie et votre optimisme. »
Tebsi Abdellakim, le 29/11/13
Alors merci de mettre sur la table ces constats sur « l’état d’esprit » français qui freine notre avancée. Vous entendre donne du baume au coeur et crédibilise notre démarche de voir grand et porter notre projet aux sommets.
Bonne journée et bon courage 😉 (on a du vous la faire 100 fois mais bon…) »
Benoit Pirard, le 27/11/13
J’ai trouvé particulièrement vraie la réflexion que vous menez sur le “Ce sera tout ?” des boulangères et, plus généralement, l’impatience des vendeurs à se débarrasser de leur interlocuteur au lieu de prendre le temps de le comprendre et de le séduire. »
Brieuc Benezet, le 23/11/13
Marc LEONARD, le 24/11/13
Cédric Lombard, le 23/11/13
Jean-Noël Fourel, le 19/11/13
David Butin, le 19/11/13
ex: bon courage; le problème, c’est que…;vivement la retraite; il est bien gentil… à lire et faire lire; mieux qu’un anxiolytique, ce petit livre pourrait-il réduire notre consommation record en psychotropes de tous ordres? Un vœu pieu… »
Noémie, le 17/11/13
pour progresser intelligemment »
Jacques, le 17/11/13
We just have one life, let’s keep it simple… »
Nicole Toutoungi, le 16/11/13
Je voulais vous laisser un mot parce que je viens de lire et relire votre livre « ne me dites plus jamais bon courage ».
Le mot est : « MERCI « . Je suis prof d’histoire géo en lycée et je me bats pour MOTIVER depuis plus de 20 ans des petits français. vos idées m’en ont donné quelques autres que je vais développer dans mes relations avec mes mômes, dont certains ont les parents qui travaillent (aient) à Arcelor.Mettal… Belle ambiance!
Pourtant je reste une grande rêveuse qui croit dans le pouvoir de la volonté. Merci de me montrer que je ne suis pas toute seule ! J’en ai eu les larmes aux yeux en lisant votre conclusion !
Et j’ose ainsi vous écrire…
Merci et encore!
Christiane, une prof passionnée! »
Christiane Bilicki, le 14/11/13
nous sommes les premiers prescripteurs dans le tricastin!
Il devrait être lu par tous les français ronchons !
nous partageons à 100/100 ce texte qui secoue les neurones (le Français en a bien besoin)
les médias également qui se délectent dans les news catastrophes!
ENFIN un petit opus qui donne du peps.»
Loupile et Yves, le 8/11/13
Enfin un livre qui fait du bien ! Court, facile à lire, il revient sur 12 expressions qui sont devenues courantes dans nos quotidiens et qui inconsciemment nous pourrissent le moral et, il faut bien le dire, nous « coupent les ailes ». Exemples ? « C’était mieux avant », « Bon courage », « Pourvu qu’il ne m’arrive rien »…»
Cécile Molliet, le 8/11/13
Merci encore pour cette passionnante lecture.»
Florian Palussière, le 7/11/13
J’ai beaucoup aimé ce livre et j’ai très souvent souri en reconnaissant des situations tellement vraies que je me demandais si vous n’étiez pas venu dans mon entreprise sans que je le sache !!!! Bravo. »
Château Loupiac-Gaudiet, le 4/11/13
Enfin quelqu’un d’optimiste! Ca fait du bien de vous lire, ça motive pour grandir. »
Patrick Banti, le 2/11/13
Roger Berdugo, le 2/11/13
Christine Bayle, le 2/11/13
Aujourd’hui je partage totalement tout ce que tu constates et nous livres et c’est pourquoi j’ai savouré tes pages avec délectation et enthousiasme.
Je compte l’offrir à quelques amis et te recontacterai pour cela. Je t’embrasse et te crie (de joie) en terminant « Never give up » ! »
Maggie Gilbert, le 30/10/13
Gregory Imbert, le 30/10/13
Et vous, vous êtes prêt à changer quelle(s) habitude(s) pour améliorer votre quotidien et celui des autres…???
Est-ce que vous êtes prêt à sortir de votre zone de confort???
Très bonne journée à tous !!!! »
Marianne Louge, le 30/10/13
Christel Fayard, le 30/10/13
Virginie Houlain, le 28/10/13
Vincent Perrault, le 28/10/13
Enfin un ouvrage qui fait du bien et qui va nous donner matière à écrire des articles pour partager avec le plus grand nombre ! »
Cécile Molliet, le 28/10/13
Michel Béthune, le 27/10/13
Je veux te remercier d’avoir si bien exprimé cet ambiance morose qui nous pourrit actuellement et nous tire vers le bas.
Moi qui suis une incorrigible optimiste, j’arrive ces derniers temps à me laisser aller à toutes ces pensées négatives. Ton livre me permet de croire que tout est encore possible et surtout que je ne suis pas la seule à penser comme ça.
Ton livre devrait être en vente dans toutes les pharmacies à la place de ces antidépresseurs que les médecins délivrent si facilement et que les gens prennent comme si c’était le remède miracle à tous leurs problèmes.
Merci pour ce bon moment que tu m’as fait passé.
Je crois que je vais en offrir quelques exemplaires pour Noël. »
Caroline Allspach, le 24/10/13
Comme vous nous avez dit en réunion que vous étiez ouvert à la critique constructive, je vous livre la mienne – qui suit bien incapable d’écrire un ouvrage comme le votre, précisons-le d’entrée ! – Moi qui suis un franchouillard convaincu (bon…désolé, mais il en faut aussi ! ^^), avec toutes les limites que cela implique, j’en suis malheureusement parfaitement conscient… Il me semble que dans votre ouvrage, on sent beaucoup le pro-Américanisme latent (ou pas, d’ailleurs ! ^^).
C’est une critique « commerciale » ; au sens où il me semble que cela pourrait freiner, à moyen terme, la diffusion de l’ouvrage, qui, au départ, ne s’adresse pas qu’aux managers et entrepreneurs comme vous l’avez fait dans vos ouvrages précédents, mais au grand public, à une large diffusion. »
Alexandre Fanget, le 22/10/13
Nous étouffons dans le « petit »-petite signature, petit souci, petit café, etc.
Et je corrige le » bon courage » d’un « bon plaisir ». »
Brigitte Lhuillier, le 22/10/13
Bon je dois avouer aussi que je me suis vu à de nombreuses reprises mais je trouve que tu as totalement raison.
Une autre façon de constater que les français n’y croient plus dans un autre registre c’est ce matin j’appelle le médecin car mon fiston à une bronchite et une otite…que j’ai chopée…le doc nous examine et nous dit « voila, je vous arrête combien de jours ??? » comme si c’était naturel et automatique…j’ai halluciné, comme si la Sécu avait besoin de ca… »
Julien Averty, le 22/10/13
C’est le petit livre orange qu’on a envie de déposer sur le bureau d’à côté. Ou près de la machine à café lyophilisé. On en laisserait même un dans l’ascenseur s’il y avait un strapontin pour lire tranquille… Son titre ? « Ne me dites plus jamais bon courage ».
Combien de fois vous a-t-on dit « bon courage », comme si vous partiez à la guerre au lieu d’aller travailler ? Et « ça ne marchera jamais ton truc » ? Vous ne comptez plus. Un jour, Philippe Bloch en a eu assez de ces phrases qui minent toutes les envies. Il en a tiré un lexique anti-déprime pour aider à s’en débarrasser… Et tout de suite après, enfin libre, plonger avec délices dans un nouveau projet. Euphorisant. »
My Little Book Club, le 21/10/13
2) c’est courageux de prendre la parole sur ces thèmes dans un moment où on a l’impression que tout se délite ici… !
Raison de plus….bravo ! »
Yves Blanchard, le 21/10/13
Nicolas Bordas, le 20/10/13
Benoit Mahé, le 20/10/13
A chaque fois, depuis Service Compris, je me sens moins seul en lisant vos lignes.
J’adore « le problème c’est que », je suis un combattant irréductible du quotidien contre cette expression que mon épouse et associée utilise au début de chacune de ses phrases. Vous m’avez donné la clef de ma fortune : au rythme du doublement du grain de riz sur les cases d’un échiquier je vais demander à ma femme de doubler la mise à chaque fois qu’elle utilise cette expression. Dépêchez vous de dégager dans votre agenda un temps pour un repas, je vous offre un bon resto dans très peu de temps. »
Bertrand Micol, le 18/10/13
Bon courage… euh pardon, « Bravo, et profites en bien ! »
Benoit Mahé, le 17/10/13
Sophie BARON, le 17/10/13
Laurence Benatar, le 17/10/13
Frederic Iselin, le 17/10/13
Charles Ditandy, le 17/10/13
Vincent Dauffy, le 17/10/13
Je me précipite pour acheter le dernier Bloch. »
Thierry Lesongeur, le 17/10/13
Anria Fiorini-tiberi, le 17/10/13
Stéphane Fériaut, le 17/10/13
Ça va être un succès ton nouveau livre… »
Jérôme Pennacchioni, le 17/10/13
JAG, le 17/10/13
Peut-être faudrait-il le distribuer aux pensionnaires (malgré eux) de Pôle emploi ? ainsi qu’à ceux de l’Education nationale qui peuvent oublier parfois qu’ils accompagnent les entrepreneurs de demain… »
Pierre Blanc, le 17/10/13
Ce bon courage que l’on m’adresse aussi tous les matins depuis des lustres dans l’ascenseur en arrivant au bureau m’a toujours été insupportable.
Je réponds invariablement : « pourquoi ? » , ce qui a pour effet de plonger mon interlocuteur dans des abîmes de perplexité … »
Erik Thomas, le 17/10/13
Je tenais à vous dire à quel point vous aviez raison dans votre analyse. Elle redonne du courage à ceux qui, comme moi, peuvent parfois douter, malgré leur attachement à la France.
Encore bravo. »
Thibaud Vincendeau, le 17/10/13
Marc Fiorentino, le 16/10/13
Jean-Baptiste BESSON, le 16/10/13
Frank Savariau, le 16/10/13
T’imagines combien de fois par jour je peux l’entendre dans la rue avec mon handicap…
Et mon épouse dans son labo d’analyse médicale : ses clients lui disent « bon courage » tandis qu’elle ne fait « que » son travail.
Bref, nous n’avons pas encore lu le livre mais le titre est déjà génial !»
Jérôme Adam, le 15/10/13
Béatrice Mérat, le 13/10/13
Pierre-Michel Kaufman, le 11/10/13
Jean-Pierre Bel, le 08/10/13
Symboles de renouveau, dynamisme, jeunesse, espérance, envie de s’en sortir, de tenir, etc. :
TOUT,
tout un programme,
et nous sommes TOUS obligés d’adhérer !! »
Dominique Glocheux, le 7/10/13
Mireille Faugère, le 7/10/13
Futur gros succès en perspective… Bravo ! »
Matthieu Sinclair, le 7/10/13
Bruno Le Maire, le 7/10/13
Philippe Hersant, le 6/10/13
Sevdalina Panova, le 6/10/13
Dominique Bénézet, le 6/10/13
C’est un livre très personnel et très universel que tu signes là.
Personnel : le chapitre 7 est sans doute celui qui te décrit le mieux.
Universel : les tics de langage révélateurs que tu décris sont tellement présents au quotidien que chaque lecteur pourra se dire : « j’aurai pu écrire ce chapitre ! »
Bravo ! »
Jacques Chaize, le 6/10/13
Antoine Coquet, le 4/10/13
Corinne Khayat, le 4/10/13
François Dufour, le 4/10/13
Guillaume Pépy, le 3/10/13
Sophie de Menthon, le 3/10/13
Kenneth Grand, le 3/10/13
Denis Kessler, le 2/10/13
Pascal Le Guern, le 02/10/13
Jean-Michel Lefevre, le 01/10/13
Brice Auckenthaler, le 30/09/13
J’y contribue et vais encore y contribuer ! »
Stéphane Caminati, le 30/09/13
J’aime sa couverture.
J’aime sa mise en image.
J’aime ton style, imagé et direct ; on a l’impression de t’entendre parler.
J’aime, entre autres, le chapitre 6.
J’aime ta dédicace à Robin.
Je n’aime pas la citation de Seguéla.
Je n’aime pas ta photo où tu baisses le nez, tout triste, comme si tu avais fait une bêtise, alors que tu devrais être tout fier, redressé et dynamique, comme on te connaît, nom de dieu ! »
Gabs, le 30/09/13
Jean-Yves Couëffé, le 30/09/13
Véronique Girard, le 30/09/13
Pierre Lauzeral, le 29/09/13
Béatrice Mérat, le 28/09/13
Vive la vie!!! »
Hervé Sérieyx, le 27/09/13
Serge Eyrolles, le 25/09/13
Augustin Paluel Marmont, le 08/09/13
Jean-Bernard Falco, le 25/08/13
« L’histoire me sera favorable, car j’ai l’intention de l’écrire. »
Winston Churchill
« Le bonheur n’est pas un événement, c’est une aptitude. »
François de La Rochefoucauld
« Il faut beaucoup de courage pour montrer ses rêves à quelqu’un. »
Erma Bombeck
« La vie est trop courte pour être petite. »
Benjamin Disraeli
« Le pire n’est jamais sûr, mais le meilleur se mérite. »
Jacques Attali
« Là où croît le péril croît aussi ce qui sauve. »
Friedrich Hölderlin
« J’ai toujours préféré la folie des passions à la sagesse de l’indifférence. »
Anatole France
« Aujourd’hui est mauvais, et chaque jour sera plus mauvais, jusqu’à ce que le pire arrive. »
Schopenhauer
« Il faut avoir une musique en soi pour faire danser le monde. »
Friedrich Wilhelm Nietzsche
« Les limites sont une invention de l’homme. »
Yannick Agnel
« Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde. »
Gandhi
« La terre compte cinquante-trois millions de Français et trois milliards d’étrangers. »
Pierre Daninos
« L’avenir m’intéresse, car c’est là où j’ai l’intentionde passer le reste de ma vie. »
Woody Allen
« En regardant passer les trains de la modernité, nous laissons s’enfuir notre destin. »
Jacques Séguéla
« Ce n’est pas le tout d’être heureux, encore faut-il que les autres ne le soient pas… »
Jules Renard