Notre site web utilise des cookies essentiels au fonctionnement du site, ainsi que des cookies de mesure d’audience afin de vous offrir une meilleure expérience utilisateur grâce aux statistiques anonymisées de Matomo. Vous pouvez consentir à l'utilisation des cookies en vue de ces objectifs, tout refuser ou sélectionner les cookies à appliquer. Vous pouvez changer d'avis et modifier votre consentement à tout moment sur le site. Dans le document « Politique de Cookies », nous vous informons de l’utilisation des cookies sur notre site web
Fonctionnel
Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques.Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Très bon livre à prêter à tous ses amis pour leur remonter le moral !
CB
15 octobre 2013 à 11 h 20 min
Quelle leçon d’optimisme… En plus, c’est superbement bien écrit !
Sophie Combes
15 octobre 2013 à 11 h 21 min
Je partage tellement ce besoin de positiver et d’enthousiasme ! La France irait mieux si elle se commençait par arreter de voir le verre à moitié vide, à critiquer et s’autocritiquer.
Jean Charles Fitoussi
15 octobre 2013 à 11 h 22 min
Magnifique objet ! Ca va cartonner…
petraz
17 octobre 2013 à 11 h 30 min
Suis fan, addict, un grand bravo pour ton livre!!!!!!
alverola
17 octobre 2013 à 11 h 33 min
Vous voulez réussir ? Alors achetez ce livre et ces livres… Cela vous donnera la garantie d’une réussite et de franchir les bon obstacles de la vie. Sachez que Philippe Bloch à été le premier intervenant lors de mon premier séminaire de Directeur Commercial. L’idée de le faire venir avait provoqué une certaine moquerie de mes collaborateurs et de la direction. Voyant leur enthousiasme négatif à la venue de Philippe Bloch, j’avais informé que si toutefois son intervention ne plaisait pas, il ne me rembourserai pas la prestation. En revanche, si toutefois c’était le contraire il devrait s’en acquitter.
Je n’avais pas d’argent à l’époque, enfin juste quoi payer mes charges fixe, et j’ai donc été obligé d’emprunter la somme de sa prestation à un ami…
Résultat : Dès les premières minutes les gens étaient séduit, puis cela s’est terminer sur un triomphe d’applaudissements et une sortie de la salle compliqué, tellement les gens lui posaient de nombreuses questions.
Vous avez compris…Vous savez ce qui vous reste à faire.
Pour conclure : Ma société ma remboursé la prestation, et j’ai eu le droit à une prime !!!!
Thomas WUHRMANN
31 octobre 2013 à 17 h 00 min
Bravo pour cette énergie et cet optimisme ! Cela fait du bien.
Christine Bayle
4 novembre 2013 à 17 h 34 min
Bouquin génial, j’ai plongé hier soir n’ai pu résister.
Roger Berdugo
4 novembre 2013 à 17 h 34 min
Merci Philippe pour ce bol de fraîcheur et cette bonne humeur !
Florian Palussière
8 novembre 2013 à 17 h 03 min
C’est extrêmement pertinent, cela permet de pointer du doigt certains réflexes français dont on a du mal, il est vrai, parfois, à se séparer.
Merci encore pour cette passionnante lecture.
Loupile et Yves
12 novembre 2013 à 11 h 28 min
Merci pour ce léxique anti déprime;
nous sommes les premiers prescripteurs dans le tricastin!
Il devrait etre lu par tous les français ronchons !
nous partageons à 100/100 ce texte qui secoue les neurones (le Français en a bien besoin)
les médias également qui se délectent dans les news catastrophes!
ENFIN un petit opus qui donne du peps.
Thanks for all your valuable hard work on this site. Betty really likes managing internet research and it’s really simple to grasp why. Almost all hear all regarding the dynamic mode you produce simple tips and hints through your blog and as well as encourage participation from other people on this subject matter so our own daughter is undoubtedly learning so much. Have fun with the rest of the year. You have been conducting a splendid job.
Gilles
14 novembre 2013 à 16 h 02 min
Hélas la liste des expressions déprimantes que vous avez eu l’intelligence et le bonheur d’épingler est loin d’être exhaustive… Sur le même plan et pire que le sacro-saint « bon courage », vous pourrez, dans votre tome 2 (!) jeter un sort au sempiternel : « bonne continuation »..On ne peut plus agaçant celui-là n’est-ce pas ? Sorte d’incitation à persévérer dans la pesante routine qui nous englue… Sur ce, je vous souhaite le meilleur, bon vent, et tout le succès que vous méritez !
Noémie
18 novembre 2013 à 11 h 15 min
Une belle surprise que ce livre déniché en attendant mon TGV; des remèdes si simples auxquels je n’avais pas pensé pour lutter contre la morosité ambiante et les propos défaitistes; je ne pensais pas que ces petites phrases, assénées chaque jour, pouvaient empoisonner à ce point notre moral, et pourtant… c’est évident!
ex: bon courage; le problème, c’est que…;vivement la retraite; il est bien gentil… à lire et faire lire; mieux qu’un anxiolytique, ce petit livre pourrait -il réduire notre consommation record en psychotropes de tous ordres? un vœu pieu…
Je fais partie de ceux qui apprécient la démarche enthousiaste et tonique de Philippe Bloch. Celles et ceux qui le lisent et/ou l’entendent savent bien à quel point son dynamisme peut être communicatif. En soulignant les travers d’expression d’une société française trop souvent ronchonne, résignée ou rétive face aux engagements qui devraient être les siens, il nous propose, à l’inverse, de découvrir l’autre face constructive de la médaille.
Le langage traduit, y-compris à notre insu, notre état d’esprit. Il traduit la façon dont nous pensons le présent et envisageons l’avenir. En cela, Il conditionne réussite et succès potentiel. Rappelons aussi que, selon Louis Pasteur, l’avenir sourit aux audacieux ou, plus exactement, aux esprits préparés.
Voici donc pour la première étape d’une démarche de renouveau. Elle doit cependant être accompagnée d’un apprentissage complémentaire qui passe par une meilleure connaissance de notre environnement économique et règles de fonctionnement (à débarrasser, là-aussi, des préjugés pesants).
Les hasards du calendrier ont voulu que la sortie du livre de Ph. Bloch coïncide avec celle d’un ouvrage intitulé : « Comprendre l’Economie l’Euro l’Argent » où je pointe également du doigt (je sais, ce n’est pas poli) les fausses interprétations et méconnaissances chroniques de l’économie. Comment présenter l’économie, sinon en proposant d’organiser un voyage de découverte du sujet pour le rendre passionnant ? Est-ce que nous pouvons parler de hasard lorsque plusieurs initiatives conjointes tendent à aller dans le même sens ? Merci à Philippe Bloch de bien vouloir m’autoriser à poser une telle question à ses lectrices et lecteurs que j’imagine désireux d’apprendre plus et mieux pour compléter la boîte à outils au service de leurs légitimes ambitions.
Courtoisement,
Marc LEONARD
25 novembre 2013 à 11 h 23 min
GRAND MERCI !
1000 FOIS MERCI
Antoine Ferchaud
2 décembre 2013 à 10 h 55 min
Bravo ce livre m’a conquis et comme tout bon livre m’a redonné du niac car ma qualité d’entrepreneurs récidiviste (green project, Verte Campagne, Entre les Mots, Dada1920, Lalouette et actuellement Séson) j’en un petit stock mais il est bon quelquefois de le voir regonfler soit par des partages entre entrepreneurs soit par des lectures comme ton livre.
Jean Pierre Cohé
9 décembre 2013 à 9 h 27 min
J’ai tellement apprécié « ne me dites plus jamais bon courage »que j’ai décidé de l’offrir à quelques Clients ou amis.
C’est un livre qui mérite d’être diffusé « à tort et à travers » (comme on dit, puisque c’est le sujet) et d’être lu et relu.
Elody
9 décembre 2013 à 9 h 27 min
Lire votre livre m’a fait oublier l’espace d’un instant la morosité du métro parisien !
J’ai beaucoup appris et beaucoup ri, ces clichés sont tellement vrais !
Estelle Monraisse
11 décembre 2013 à 9 h 20 min
On devrait en imposer la lecture à TOUS les Français !
Laurent Tripon
15 décembre 2013 à 11 h 13 min
Bravo ! Du bon Bloch !
Bonne continuation…
Adhérez à la BlochAttitude…
Cordialement
Laurent Tripon
Thomas Apard
16 décembre 2013 à 9 h 38 min
Je viens de dévorer votre livre « ne me dites plus jamais bon courage ». Je suis effaré depuis plusieurs année exactement comme vous de la fréquence de cette expression qui se réduit encore à sa plus simple expression dans la bouche d’un de mes collègues, avec son fameux « sois courageux » du matin dans le vestiaire.
Je suis un chirurgien de 36 ans, et suis entouré par des dépressifs baby boomer incapables de parler anglais, incapable de sourire, incapable d’exprimer un quelconque esprit d’entreprendre. Il faut nous pardonner : la 2e année sélectionne les étudiants les plus solitaires, les plus bachoteurs, doués de mémoire sans créativité.
Les patients aiment l’humour et sont toujours surpris de me voir sourire. Je mets toujours de la musique au bloc et leur demande ce qu’ils aimeraient entendre : « comme vous voulez docteur…- Ah, vous allez le regretter….!!!) Quand je leur dit qu’il faudra peut-être les réopérer dans 20 ans, ils me disent toujours quelque chose comme « si je suis encore là… » : je leur réponds alors la fameuse phrase de Voutch « vous savez, le pire n’est pas certain… ».
Le changement est insupportable pour l’équipe et pourtant je leur répète toujours que cela empêche de s’endormir. Une infirmière m’a dit : « comme tu aimes la nouveauté, on pourrait créer une boîte à idées et la meilleure idée sera récompensée par un diner pour 2 dans un bon resto. Mon idée à moi est d’avoir créer la boîte à idée. Bonne idée, non ? ». J’ai trouvé ça génial.
Je suis né au Havre et j’ai toujours vu l’horizon sur une mer déchainée ou apaisée. Je crois comme Jacques Attali qu’il y a en France des marins et des terriens mais que ces derniers ont pris le pouvoir.
J’espère un jour vous croiser pour vous parler des chirurgiens français, adorés à l’étrangers (je l’ai vu en Norvège, au Japon, en Floride ou en Italie…) et pourtant tellement déprimés dans leur bloc (« ah les impôts, la sécu, la cadre, le directeur,… »)
Dominique Riu
3 janvier 2014 à 14 h 59 min
Puisse t-il être non seulement vendu, mais lu, compris et utilisé pour faire voir autrement.
Guillaume Darrousez
3 janvier 2014 à 15 h 00 min
A lire avec plaisir. Top. Tu seras dans le top 10. Trop bien ton livre. Je le recommande a tous !
Guillaume Lascar
3 janvier 2014 à 15 h 00 min
Je tiens également à vous féliciter pour la qualité de votre dernier ouvrage « Ne me dîtes plus jamais bon courage » que je lis en ce moment.
Celui-ci remonte le moral, surtout quand vos proches (familles, anciens collègues, copains…) n’attendent que la retraite ou sont au chomâge.
Antoine Lussignol
7 janvier 2014 à 11 h 27 min
Le livre est court , clair , et donc accessible à tous , une vraie leçon de pragmatisme à méditer en vue de 2017 !!!
leman
17 janvier 2014 à 15 h 51 min
J’ai beaucoup apprécié la lecture de ce livre, facile à lire et qui pointe si bien certains de nos travers pessimistes, je l’ai transmis à mes enfants pour les aider à retrouver un certain optimisme…Vous evoquez la puissance des mots, juste une critique, vous utilisez pour définir certains dirigeants le terme »autiste ». Je suis maman d’un adulte autiste, eh oui l’autisme n’est pas qu’infantile, les enfants autistes ne guérissent pas à l’age de 20 ans, ils deviennent adultes et gardent des besoins spécifiques…L’autisme est un handicap sévère qui perturbe toute la vie de la personne atteinte et de sa famille. » Autiste »n’est en aucun cas un qualificatif que l’on peut utiliser à tout va.C’est un exemple que l’on ne doit pas donner en particulier aux jeunes qui parfois actuellement se traitent de « gogol » dans la cour de récréation, quand se traiteront-ils « d’autiste ».
Je me suis néanmoins retrouvée dans un certains nombres de commentaires en particulier au regard de l’expression » bon courage » à laquelle régulièrement j’ai répondu: »je n’en ai pas! » .Après cette lecture tout a fait imprévue ( livre trouvé sur un présentoir au furet alors que j’attendais une commande)je confirme votre livre requinque!
Dominique Riu
20 janvier 2014 à 9 h 53 min
Toutes les personnes à qui j’ai offert ce livre ont modifié leur vocabulaire. Si tous les lecteurs souriaient un peu plus en prime ce serait vraiment Maaaagique
Un petit commentaire pour t’encourager a écrire encore d’autres articles…bravo!
Alain Dethilloy
31 janvier 2014 à 9 h 28 min
Ce livre est génial pour empêcher de penser en rond
Jeanne Courouble
17 février 2014 à 9 h 31 min
Tout intello que l’auteur puisse-être, ce livre n’est pas un livre intello !
Sa lecture glisse avec facilité, embaumant le cœur et l’esprit d’une joie nouvelle pour vous laisser au bout d’une heure ou deux rempli d’enthousiasme et d’espoir.
Laurence Schreinert
20 février 2014 à 9 h 19 min
Ceux qui l’on lu comme moi sont tellement rechargés en ondes positives qu’ils en parlent autour d’eux et ce sont souvent les petits ruisseaux qui font les grands fleuves…. Allez courage et merci de nous redonner confiance!
Sophie Pourtein
20 février 2014 à 9 h 19 min
On vient de me l offrir car j ai une sainte horreur de toutes ces expressions convenues, decourageantes et symptomatique d un malaise généralisé ! Je viens lire le premier chapitre et ça fait un bien fou !!! Merci pour cette dose d optimisme et ce rappel : le bonheur est en chacun de nous, à nous d aller le chercher !
Laurent Ghijselings
20 février 2014 à 11 h 01 min
Pour combattre cela, voici un livre que je conseille à tous et qui fonctionne parfaitement aussi en Belgique
Sandrine Birklé
3 mars 2014 à 11 h 19 min
Quel bonheur de lire votre livre ! Je partage toutes vos idées, et vos valeurs et je suis tout à fait d’accord que les choses doivent changer en France. Alors aujourd’hui, j’ai très envie de suivre vos conseils et de rejoindre le camp des optimistes. Il est grand temps de refaire des projets et de ne plus avoir peur d’avancer. Merci d’avoir partagé, à travers ce livre , votre enthousiasme, votre optimisme et votre courage.
EN PLEIN DANS LE MILLE. Merci Monsieur BLOCH pour ce livre qui parle en vérité, en profondeur, sans agressivité mais tellement d’optimisme. Depuis et pour de nombreuses années à venir, mon LIVRE DE CHEVET !
S’il vous plait, présentez-vous aux prochaines présidentielles 😉
« STAY HUNGRY, STAY FOOLISH »
Philippe Carbonnie
17 mars 2014 à 12 h 17 min
Votre livre, « Ne me dites plus jamais bon courage ! » est une véritable bouffée
d’oxygène pour combattre cette morosité ambiante et notre inertie génétique.
François Bourboulon
17 mars 2014 à 21 h 59 min
J’ai acheté votre livre avec enthousiasme et .. j’ai été bien déçu. Je partage pourtant entièrement le thème général et les chapitres choisis, mais j’ai trouvé le contenu plutôt .. déprimant. Première déception, l’ouvrage est une contradiction permanente : vous critiquez à la fois le dénigrement national et les français. Nous avons par exemple bien compris que les français sont beaucoup moins bien à vos yeux que les américains. C’est peut être vrai, mais ça n’aide pas à avoir confiance en son pays que de le marteler à longueur de livre. Deuxième source d’agacement, vous avez malheureusement le défaut classique du journaliste d’un média national : vous amalgamez ce que vous observez à Paris au reste de la France. C’est carrément explicite dans le chapitre 7 par exemple sur le manque de gentillesse des français prouvé par une étude sur Paris. Il y a d’autre fautes de goût, selon moi, plus mineures, comme celle de citer Depardieu en bouc émissaire, lui qui est pourtant expert en dénigrement national. Il y avait sans doute mieux comme exemple sur le sujet.
Encore une fois, je suis profondément optimiste (à la mode Bernanos) et j’aurais trouvé logique que si vous l’êtes vraiment, vous vous attardiez plus sur le potentiel et les qualités que sur les défauts et les tics de langage.
Valérie Berner
3 avril 2014 à 8 h 37 min
Merci pour votre dernier livre « Ne me dîtes plus jamais bon courage », c’est un vrai concentré d’énergie positive à consommer sans modération !
Erika
22 avril 2014 à 16 h 10 min
L’idée générale est intéressante. Cultiver son optimisme est fondamental ! Or votre livre est une contradiction éclatante. Chaque chapitre est composé de quatre pages d’une démonstration pessimiste et de quatre lignes de solutions optimistes. Je suis profondément déçue par ce livre.
Très bon livre à prêter à tous ses amis pour leur remonter le moral !
Quelle leçon d’optimisme… En plus, c’est superbement bien écrit !
Je partage tellement ce besoin de positiver et d’enthousiasme ! La France irait mieux si elle se commençait par arreter de voir le verre à moitié vide, à critiquer et s’autocritiquer.
Magnifique objet ! Ca va cartonner…
Suis fan, addict, un grand bravo pour ton livre!!!!!!
Vous voulez réussir ? Alors achetez ce livre et ces livres… Cela vous donnera la garantie d’une réussite et de franchir les bon obstacles de la vie. Sachez que Philippe Bloch à été le premier intervenant lors de mon premier séminaire de Directeur Commercial. L’idée de le faire venir avait provoqué une certaine moquerie de mes collaborateurs et de la direction. Voyant leur enthousiasme négatif à la venue de Philippe Bloch, j’avais informé que si toutefois son intervention ne plaisait pas, il ne me rembourserai pas la prestation. En revanche, si toutefois c’était le contraire il devrait s’en acquitter.
Je n’avais pas d’argent à l’époque, enfin juste quoi payer mes charges fixe, et j’ai donc été obligé d’emprunter la somme de sa prestation à un ami…
Résultat : Dès les premières minutes les gens étaient séduit, puis cela s’est terminer sur un triomphe d’applaudissements et une sortie de la salle compliqué, tellement les gens lui posaient de nombreuses questions.
Vous avez compris…Vous savez ce qui vous reste à faire.
Pour conclure : Ma société ma remboursé la prestation, et j’ai eu le droit à une prime !!!!
Bravo pour cette énergie et cet optimisme ! Cela fait du bien.
Bouquin génial, j’ai plongé hier soir n’ai pu résister.
Merci Philippe pour ce bol de fraîcheur et cette bonne humeur !
C’est extrêmement pertinent, cela permet de pointer du doigt certains réflexes français dont on a du mal, il est vrai, parfois, à se séparer.
Merci encore pour cette passionnante lecture.
Merci pour ce léxique anti déprime;
nous sommes les premiers prescripteurs dans le tricastin!
Il devrait etre lu par tous les français ronchons !
nous partageons à 100/100 ce texte qui secoue les neurones (le Français en a bien besoin)
les médias également qui se délectent dans les news catastrophes!
ENFIN un petit opus qui donne du peps.
Thanks for all your valuable hard work on this site. Betty really likes managing internet research and it’s really simple to grasp why. Almost all hear all regarding the dynamic mode you produce simple tips and hints through your blog and as well as encourage participation from other people on this subject matter so our own daughter is undoubtedly learning so much. Have fun with the rest of the year. You have been conducting a splendid job.
Hélas la liste des expressions déprimantes que vous avez eu l’intelligence et le bonheur d’épingler est loin d’être exhaustive… Sur le même plan et pire que le sacro-saint « bon courage », vous pourrez, dans votre tome 2 (!) jeter un sort au sempiternel : « bonne continuation »..On ne peut plus agaçant celui-là n’est-ce pas ? Sorte d’incitation à persévérer dans la pesante routine qui nous englue… Sur ce, je vous souhaite le meilleur, bon vent, et tout le succès que vous méritez !
Une belle surprise que ce livre déniché en attendant mon TGV; des remèdes si simples auxquels je n’avais pas pensé pour lutter contre la morosité ambiante et les propos défaitistes; je ne pensais pas que ces petites phrases, assénées chaque jour, pouvaient empoisonner à ce point notre moral, et pourtant… c’est évident!
ex: bon courage; le problème, c’est que…;vivement la retraite; il est bien gentil… à lire et faire lire; mieux qu’un anxiolytique, ce petit livre pourrait -il réduire notre consommation record en psychotropes de tous ordres? un vœu pieu…
Bonjour,
Je fais partie de ceux qui apprécient la démarche enthousiaste et tonique de Philippe Bloch. Celles et ceux qui le lisent et/ou l’entendent savent bien à quel point son dynamisme peut être communicatif. En soulignant les travers d’expression d’une société française trop souvent ronchonne, résignée ou rétive face aux engagements qui devraient être les siens, il nous propose, à l’inverse, de découvrir l’autre face constructive de la médaille.
Le langage traduit, y-compris à notre insu, notre état d’esprit. Il traduit la façon dont nous pensons le présent et envisageons l’avenir. En cela, Il conditionne réussite et succès potentiel. Rappelons aussi que, selon Louis Pasteur, l’avenir sourit aux audacieux ou, plus exactement, aux esprits préparés.
Voici donc pour la première étape d’une démarche de renouveau. Elle doit cependant être accompagnée d’un apprentissage complémentaire qui passe par une meilleure connaissance de notre environnement économique et règles de fonctionnement (à débarrasser, là-aussi, des préjugés pesants).
Les hasards du calendrier ont voulu que la sortie du livre de Ph. Bloch coïncide avec celle d’un ouvrage intitulé : « Comprendre l’Economie l’Euro l’Argent » où je pointe également du doigt (je sais, ce n’est pas poli) les fausses interprétations et méconnaissances chroniques de l’économie. Comment présenter l’économie, sinon en proposant d’organiser un voyage de découverte du sujet pour le rendre passionnant ? Est-ce que nous pouvons parler de hasard lorsque plusieurs initiatives conjointes tendent à aller dans le même sens ? Merci à Philippe Bloch de bien vouloir m’autoriser à poser une telle question à ses lectrices et lecteurs que j’imagine désireux d’apprendre plus et mieux pour compléter la boîte à outils au service de leurs légitimes ambitions.
Courtoisement,
GRAND MERCI !
1000 FOIS MERCI
Bravo ce livre m’a conquis et comme tout bon livre m’a redonné du niac car ma qualité d’entrepreneurs récidiviste (green project, Verte Campagne, Entre les Mots, Dada1920, Lalouette et actuellement Séson) j’en un petit stock mais il est bon quelquefois de le voir regonfler soit par des partages entre entrepreneurs soit par des lectures comme ton livre.
J’ai tellement apprécié « ne me dites plus jamais bon courage »que j’ai décidé de l’offrir à quelques Clients ou amis.
C’est un livre qui mérite d’être diffusé « à tort et à travers » (comme on dit, puisque c’est le sujet) et d’être lu et relu.
Lire votre livre m’a fait oublier l’espace d’un instant la morosité du métro parisien !
J’ai beaucoup appris et beaucoup ri, ces clichés sont tellement vrais !
On devrait en imposer la lecture à TOUS les Français !
Bravo ! Du bon Bloch !
Bonne continuation…
Adhérez à la BlochAttitude…
Cordialement
Laurent Tripon
Je viens de dévorer votre livre « ne me dites plus jamais bon courage ». Je suis effaré depuis plusieurs année exactement comme vous de la fréquence de cette expression qui se réduit encore à sa plus simple expression dans la bouche d’un de mes collègues, avec son fameux « sois courageux » du matin dans le vestiaire.
Je suis un chirurgien de 36 ans, et suis entouré par des dépressifs baby boomer incapables de parler anglais, incapable de sourire, incapable d’exprimer un quelconque esprit d’entreprendre. Il faut nous pardonner : la 2e année sélectionne les étudiants les plus solitaires, les plus bachoteurs, doués de mémoire sans créativité.
Les patients aiment l’humour et sont toujours surpris de me voir sourire. Je mets toujours de la musique au bloc et leur demande ce qu’ils aimeraient entendre : « comme vous voulez docteur…- Ah, vous allez le regretter….!!!) Quand je leur dit qu’il faudra peut-être les réopérer dans 20 ans, ils me disent toujours quelque chose comme « si je suis encore là… » : je leur réponds alors la fameuse phrase de Voutch « vous savez, le pire n’est pas certain… ».
Le changement est insupportable pour l’équipe et pourtant je leur répète toujours que cela empêche de s’endormir. Une infirmière m’a dit : « comme tu aimes la nouveauté, on pourrait créer une boîte à idées et la meilleure idée sera récompensée par un diner pour 2 dans un bon resto. Mon idée à moi est d’avoir créer la boîte à idée. Bonne idée, non ? ». J’ai trouvé ça génial.
Je suis né au Havre et j’ai toujours vu l’horizon sur une mer déchainée ou apaisée. Je crois comme Jacques Attali qu’il y a en France des marins et des terriens mais que ces derniers ont pris le pouvoir.
J’espère un jour vous croiser pour vous parler des chirurgiens français, adorés à l’étrangers (je l’ai vu en Norvège, au Japon, en Floride ou en Italie…) et pourtant tellement déprimés dans leur bloc (« ah les impôts, la sécu, la cadre, le directeur,… »)
Puisse t-il être non seulement vendu, mais lu, compris et utilisé pour faire voir autrement.
A lire avec plaisir. Top. Tu seras dans le top 10. Trop bien ton livre. Je le recommande a tous !
Je tiens également à vous féliciter pour la qualité de votre dernier ouvrage « Ne me dîtes plus jamais bon courage » que je lis en ce moment.
Celui-ci remonte le moral, surtout quand vos proches (familles, anciens collègues, copains…) n’attendent que la retraite ou sont au chomâge.
Le livre est court , clair , et donc accessible à tous , une vraie leçon de pragmatisme à méditer en vue de 2017 !!!
J’ai beaucoup apprécié la lecture de ce livre, facile à lire et qui pointe si bien certains de nos travers pessimistes, je l’ai transmis à mes enfants pour les aider à retrouver un certain optimisme…Vous evoquez la puissance des mots, juste une critique, vous utilisez pour définir certains dirigeants le terme »autiste ». Je suis maman d’un adulte autiste, eh oui l’autisme n’est pas qu’infantile, les enfants autistes ne guérissent pas à l’age de 20 ans, ils deviennent adultes et gardent des besoins spécifiques…L’autisme est un handicap sévère qui perturbe toute la vie de la personne atteinte et de sa famille. » Autiste »n’est en aucun cas un qualificatif que l’on peut utiliser à tout va.C’est un exemple que l’on ne doit pas donner en particulier aux jeunes qui parfois actuellement se traitent de « gogol » dans la cour de récréation, quand se traiteront-ils « d’autiste ».
Je me suis néanmoins retrouvée dans un certains nombres de commentaires en particulier au regard de l’expression » bon courage » à laquelle régulièrement j’ai répondu: »je n’en ai pas! » .Après cette lecture tout a fait imprévue ( livre trouvé sur un présentoir au furet alors que j’attendais une commande)je confirme votre livre requinque!
Toutes les personnes à qui j’ai offert ce livre ont modifié leur vocabulaire. Si tous les lecteurs souriaient un peu plus en prime ce serait vraiment Maaaagique
Un petit commentaire pour t’encourager a écrire encore d’autres articles…bravo!
Ce livre est génial pour empêcher de penser en rond
Tout intello que l’auteur puisse-être, ce livre n’est pas un livre intello !
Sa lecture glisse avec facilité, embaumant le cœur et l’esprit d’une joie nouvelle pour vous laisser au bout d’une heure ou deux rempli d’enthousiasme et d’espoir.
Ceux qui l’on lu comme moi sont tellement rechargés en ondes positives qu’ils en parlent autour d’eux et ce sont souvent les petits ruisseaux qui font les grands fleuves…. Allez courage et merci de nous redonner confiance!
On vient de me l offrir car j ai une sainte horreur de toutes ces expressions convenues, decourageantes et symptomatique d un malaise généralisé ! Je viens lire le premier chapitre et ça fait un bien fou !!! Merci pour cette dose d optimisme et ce rappel : le bonheur est en chacun de nous, à nous d aller le chercher !
Pour combattre cela, voici un livre que je conseille à tous et qui fonctionne parfaitement aussi en Belgique
Quel bonheur de lire votre livre ! Je partage toutes vos idées, et vos valeurs et je suis tout à fait d’accord que les choses doivent changer en France. Alors aujourd’hui, j’ai très envie de suivre vos conseils et de rejoindre le camp des optimistes. Il est grand temps de refaire des projets et de ne plus avoir peur d’avancer. Merci d’avoir partagé, à travers ce livre , votre enthousiasme, votre optimisme et votre courage.
EN PLEIN DANS LE MILLE. Merci Monsieur BLOCH pour ce livre qui parle en vérité, en profondeur, sans agressivité mais tellement d’optimisme. Depuis et pour de nombreuses années à venir, mon LIVRE DE CHEVET !
S’il vous plait, présentez-vous aux prochaines présidentielles 😉
« STAY HUNGRY, STAY FOOLISH »
Votre livre, « Ne me dites plus jamais bon courage ! » est une véritable bouffée
d’oxygène pour combattre cette morosité ambiante et notre inertie génétique.
J’ai acheté votre livre avec enthousiasme et .. j’ai été bien déçu. Je partage pourtant entièrement le thème général et les chapitres choisis, mais j’ai trouvé le contenu plutôt .. déprimant. Première déception, l’ouvrage est une contradiction permanente : vous critiquez à la fois le dénigrement national et les français. Nous avons par exemple bien compris que les français sont beaucoup moins bien à vos yeux que les américains. C’est peut être vrai, mais ça n’aide pas à avoir confiance en son pays que de le marteler à longueur de livre. Deuxième source d’agacement, vous avez malheureusement le défaut classique du journaliste d’un média national : vous amalgamez ce que vous observez à Paris au reste de la France. C’est carrément explicite dans le chapitre 7 par exemple sur le manque de gentillesse des français prouvé par une étude sur Paris. Il y a d’autre fautes de goût, selon moi, plus mineures, comme celle de citer Depardieu en bouc émissaire, lui qui est pourtant expert en dénigrement national. Il y avait sans doute mieux comme exemple sur le sujet.
Encore une fois, je suis profondément optimiste (à la mode Bernanos) et j’aurais trouvé logique que si vous l’êtes vraiment, vous vous attardiez plus sur le potentiel et les qualités que sur les défauts et les tics de langage.
Merci pour votre dernier livre « Ne me dîtes plus jamais bon courage », c’est un vrai concentré d’énergie positive à consommer sans modération !
L’idée générale est intéressante. Cultiver son optimisme est fondamental ! Or votre livre est une contradiction éclatante. Chaque chapitre est composé de quatre pages d’une démonstration pessimiste et de quatre lignes de solutions optimistes. Je suis profondément déçue par ce livre.